Déclaration de l’UPML à propos de l’attentat contre les Kurdes

L’UPML condamne l’attaque terroriste fasciste perpétrée hier par un Français de 69 ans contre le « Centre Culturel De Kurde Paris Ahmet Kaya ». Ses tirs ont assassiné Emine Kara, M. Şirin Aydın et Abdurrahman Kızıl, tous trois membres actifs du Mouvement kurde pour la liberté et la démocratie.

contre le fascisme et le racisme, NOUS NE NOUS TAIRONS PAS !

Dans l’attaque raciste fasciste du 23 décembre contre le Centre culturel kurde Ahmet-Kaya, à Paris dans le 10 ᵉ arrondissement, trois personnes sont mortes et plusieurs ont été blessées, dont une demeure en état d’urgence absolue. Les attaques contre les associations kurdes et les organisations de Turquie, les pressions, les dissolutions d’associations, les interdictions de drapeaux et de banderoles, ces activités criminalisées par la loi ont finalement atteint leur plus haut niveau de répression avec cette attaque armée. Nos associations, qui ont été ciblées en pointant leurs activités politiques dans les États de l’UE, sont maintenant la cible des organisations fascistes-racistes européennes conjointement à la menace du réseau d’espionnage créé par l’état fasciste turc en Europe.

6 août 45 : Hiroshima. Résister à la préparation d’une guerre nucléaire !

Il y a 77 ans, le 6 août 1945, les États-Unis larguaient la première bombe atomique sur Hiroshima au Japon, et trois jours plus tard la deuxième sur Nagasaki. Plus de 250 000 personnes ont été victimes de la mort nucléaire, 160 000 par la chaleur et le rayonnement radioactif. Les blessés ont mené une vie atroce jusqu’à ce que la mort les délivre. L’utilisation des bombes avait pour seul objectif de mettre fin à la guerre contre le Japon, si possible avant l’offensive de l’Union soviétique socialiste en Mandchourie, et de placer le Japon sous la domination unique de l’impérialisme américain.

L’ICOR arbore le drapeau de Lénine – pour le droit à l’autodétermination des nations !

l’ICOR déclare sa condamnation déterminée de l’invasion russe de l’Ukraine. Ainsi, non seulement le droit international bourgeois en vigueur est foulé aux pieds. C’est surtout le principe socialiste du droit des peuples à l’autodétermination qui est attaqué et diffamé. Une guerre locale a ainsi été ouverte et un danger de guerre aigu est apparu, avec la possibilité d’une dimension mondiale. Ceci dans le cadre d’un affrontement ouvertement belliqueux entre le principal belligérant général, les États-Unis et l’OTAN, et la Russie impérialiste, d’où provient l’agression actuelle contre l’Ukraine.