24 avril 2024

A propos de la résolution de VP : « 2016-2019, La crise de VP »

Mise au point.

Depuis notre exclusion de Voie Prolétarienne nous avons eu l’occasion de revenir sur la lutte de lignes qui a secouée cette organisation; sur les circonstances, sur les contradictions qui s’étaient développées dans cette organisation.  Nous les avons analysées et rendues publiques, le lecteur les trouvera sur ce blog. Alors pourquoi y revenir ?

Les « quelques réflexions de l’Union Prolétarienne ML » qui suivent ont pour objectifs, à l’heure de la remontée des luttes sociales, des antagonismes de classes et des luttes pour reconstruire un véritable Parti révolutionnaire de ne pas retomber dans les mêmes erreurs. Nous devons réfléchir, nous donner des armes pour combattre le révisionnisme qui se manifeste toujours comme le dogmatisme (on recopie bêtement les classiques) ou encore le spontanéisme (on exalte à tout bout de champ les « luttes » en oubliant le but final), comme le fait « l’anarcho-syndicalisme » qui prétend que le Parti n’est pas nécessaire que seul le mouvement spontané peut mener à la révolution.  Alors, lecteur, le débat est ouvert, envoie nous ton point de vue.

Union Prolétarienne marxiste-léniniste (UPML)

Janvier 2023

Lettre ouverte à l’OCML-VP, aux organisations communistes en France et au MLPD :

A propos de la résolution de VP : « 2016-2019,  La crise de VP »

Quelques réflexions de l’Union Prolétarienne Marxiste Léniniste.

Comme beaucoup de petites organisations ou cercles en France, l’UPML et VP affirment qu’il faut construire un Parti communiste. D’autres prétendent qu’elles sont déjà LE Parti ! Mais construire un Parti qu’est-ce que c’est :

Quelques soient les circonstances, il s’agit toujours de se regrouper autour d’une ligne politique et idéologique prolétarienne révolutionnaire, de se former pour former des communistes, de participer aux luttes de la classe ouvrière de façon créatrice en s’appuyant sur le marxisme léninisme ( et les idées de Mao) et le matérialisme dialectique et historique. Si on oublie un aspect de ce travail complexe, on échoue inévitablement comme VP vient d’en faire l’expérience.

La résolution de VP : « 2016-2019,  La crise de VP » est autocritique ; mais elle ne va pas à la racine des difficultés et des fautes politiques. En plus, elle traite entre autres les camarades de l’Union Prolétarienne marxiste-léniniste de « fraction néo-révisionniste », exclue à juste titre de VP. Pour cela, nous avons publié notre courrier critique à VP de 2016, l’« Appel du 1er janvier 2016 » que vous pouvez toujours trouver sur notre blog. Nous approfondissons ici quelques points :

  1. Comment la direction de VP peut-elle nous traiter de néo révisionnistes sans aborder les questions concrètes de ligne politique ? Abordons-les !

Le marxisme léninisme attirait la jeunesse dans les années 60-70, mais il n’était pas forcément compris. Des efforts de formation ont été faits, mais en même temps et surtout plus récemment, des membres de la direction de VP ont limité ces efforts. Ils prétendaient que les textes de VP, « les 40 ans d’expérience » suffisaient. Et si on prétend vouloir faire la révolution, mieux vaut étudier l’expérience de ceux qui l’ont faite, marquant histoire, sans les copier aveuglément, plutôt qu’une organisation aux positions fluctuantes et dont la direction n’avait pas d’unité.

Nos propositions d’étudier « Que faire ? » et le « Gauchisme » de Lénine ont été refusées parce que jugés trop lourds. Ils devaient être remplacés par 15 « textes de base » de VP, décision qui, dix ans après, n’avait toujours pas été appliquée.

A plusieurs reprises, des positions de fond du marxisme léninisme ont été mises en question ou relativisées. La posture post-moderniste du « tout cela est dépassé » l’a de plus en plus emporté dans VP.

Par exemple : La théorie du Capitalisme Monopoliste d’État (CME), développée par Lénine dans « l’impérialisme, stade suprême du capitalisme » (et ensuite dans d’autres textes) aurait été, selon plusieurs dirigeants de VP, une invention révisionniste. Les révisionnistes du PCF ont effectivement utilisé le terme tout en dénaturant le concept pour faire avaler leur réformisme. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut rejeter le terme et le concept : toute analyse du système ou seulement du comportement de tel ou tel monopole et de l’État ont démontré et démontre à quel point l’analyse de Lénine est toujours pertinente. Nous avons fait publier dans le bulletin intérieur, les textes de Lénine sur le CME. Mais nous n’avons pu obtenir qu’il y ait un débat dans l’organisation ou une quelconque autocritique de la part de dirigeants de VP. On se contentait de caractériser l’État comme « quartier général de la classe capitaliste », ce qui est unilatéral (Plate-forme de VP, cahier 3, page 6). L’État est le représentant de la classe capitaliste en défendant le système contre toute volonté de le renverser. Mais avec le CME l’État est devenu en particulier le serviteur des monopoles sur les plans économique, politique, militaire et idéologique. « Les monopoles internationaux d’origine française ou domiciliés ici se sont complètement subordonnés l’État ; leurs organismes de direction ont fusionné avec ceux de l’État (ou de l’Union européenne) et ils ont érigé leur dictature sur tous les secteurs de la société. » (Projet de programme de l’UPML, pages 9/10) Dans ce sens, l’Etat opprime et participe à l’exploitation des petits capitalistes en faveur des monopoles internationaux. VP par contre met dans le même sac le petit patron et les monopoles internationaux. Cela nie l’évolution fondamentale du capitalisme, sa concentration et sa centralisation, l’analyse et l’agitation et propagande restent alors vagues, la politique gauchiste et on ne vise pas l’ennemi principal, le capital financier international !

L’avancée des positions et méthodes petites-bourgeoises

Cette attitude sujectiviste et superficielle n’a fait qu’affaiblir VP, l’a rapprochée des positions trotskistes, multipliant les critiques non étayées voire anti-communistes contre Staline, effaçant nombre de contradictions entre le révisionnisme de Khrouchtchev et le marxisme léninisme. La direction de VP a critiqué le Parti Marxiste-Léniniste d’Allemagne (MLPD) qui estimait à juste titre, comme le PC chinois et le PT albanais, non révisionnistes des années 60-76, que le XX° congrès du PCUS (en 1956) constituait un saut qualitatif, un changement politique et idéologique majeur : une trahison. Ce fût alors la prise du pouvoir d’une nouvelle bourgeoisie et non pas une continuité avec l’URSS de Lénine et de Staline. La direction de VP n’a pas été capable d’engager une étude en interne sur la nature de ce tournant historique susceptible d’étayer sa critique du MLPD. C’était ‘à prendre ou à laisser’. Priorité donc à la confiance aveugle en certains camarades. La formation sur des événements majeurs du mouvement communiste à l’origine de notre courant « marxiste léniniste » attendra ! Peut-on s’étonner du développement ultérieur de nombreuses contradictions aboutissant à l’éclatement ?

On se rappelle que certaines cellules proposaient d’effacer « communiste marxiste léniniste » du nom de l’organisation. Le lien est évident avec la dernière tentative de liquidation de VP en 2019.

Ce ne sont que quelques exemples parmi beaucoup d’autres !

Des lacunes politiques et idéologiques de longue date

Il est évident qu’une telle inconsistance politique ne pouvait qu’entraîner la faillite.

Vers 2000, l’organisation s’est divisée en 50-50 sur l’appréciation de la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne (GRCP) en Chine, pourtant une démarcation nette du courant marxiste léniniste face au révisionnisme.  Des cadres de VP, membres du CC ou l’ayant été, condamnaient Mao avec des arguments ultra gauches. Ils se sont montrés incapables de comprendre la lutte réelle des masses stimulée par le courant maoïste contre le courant de Deng et de Liu bien installé dans le parti, l’État et les organismes économiques visant la restauration du capitalisme. Leurs critiques visaient essentiellement le courant maoïste. Après cette division de l’organisation, chacun est resté prisonnier de ses lacunes politiques et idéologiques qui n’ont fait que s’accentuer, l’organisation étant incapable de reprendre ce débat fondamental sur ce que doit être le socialisme : la continuation de la lutte de classe.

Comme pour l’URSS et Staline, les critiques contre la GRPC apportaient ainsi un soutien indirect au révisionnisme et ont au niveau idéologico-politique affaibli VP. Nous n’avons pu inverser cette dérive.

Que reste-t-il du marxisme léninisme de l’OCML VP ?

  1. L’attitude vis à vis de la classe ouvrière 

Parmi les reproches qui nous sont faits, on peut trouver la phrase : « les néo révisionnistes exclus en 2016 imaginaient que l’on pouvait se poser en direction du mouvement de masse, alors que nous n’étions qu’une petite organisation… » (Crise de VP). Ils s’imaginaient qu’« il était possible de gagner les masses dans un contexte particulier en laissant de côté les tâches vis à vis des ouvriers avancés ainsi que le combat contre toutes les formes de réformisme, spontané comme organisé » (page 15 de « Réponse point par point à l’Appel du 1er janvier »).

Le cercle VP actuel reprend une caricature de notre position qui lui permet à moindre frais de faire la promotion de son recul devant les tâches communistes : Il faut évidemment se lier aux masses et aller chercher les futurs camarades là où ils sont (99,999 % pas dans l’organisation) pour les faire évoluer vers le marxisme léninisme. Pour cela promouvoir nos analyses et garder intacte à la fois notre confiance dans le matérialisme dialectique et historique et dans le potentiel révolutionnaire de la classe, ce que VP n’a pas su faire. Petite ou grande organisation, auprès des masses ou de prolétaires plus conscients, on doit mener la lutte contre l’opportunisme, arracher des  ouvriers et masses populaires à son influence !

Combattre le réformisme est une des premières tâches pour l’éducation des masses. On nous reproche de ne critiquer ni le réformiste spontané ni le réformisme organisé. Un coup d’œil dans notre projet de programme ou dans nos tracts démontre le contraire. Tandis que les exemples de lutte politique et idéologique de VP menés au bout contre le révisionnisme se comptent sur les doigts d’une main.

Bien qu’il y ait eu des efforts pour développer le travail politique et « l’établissement » dans la classe ouvrière, il y avait aussi des obstacles à se lier à elle : en particulier mauvaise compréhension  de la liaison entre lutte pour les réformes et lutte pour la révolution menant parfois à un anti syndicalisme primaire et à une méconnaissance du niveau de conscience de la classe.

Ainsi la direction de VP a mis en avant le « réformisme spontané » de la classe ouvrière en  faisant oublier son potentiel révolutionnaire toujours entretenu par l’exploitation capitaliste quotidienne.

Des luttes comme celles de PSA-Aulnay ou Fralib étaient jugées « non représentatives » (voir le n° 2 du magazine Partisan). Cela discréditait les ouvriers combatifs et les militants de VP qui les soutenaient et rendait inutile l’étude du réel niveau de conscience de la classe qui est une condition nécessaire pour lutter contre le réformisme, pour la politisation des luttes économiques et convaincre les éléments les plus avancés jusqu’à la conscience socialiste. Les idées réformistes dominantes dans la classe prolétarienne et un potentiel révolutionnaire coexistent comme unité des contraires, mais la dialectique n’a jamais été qu’un ornement pour la direction de VP. Toute lutte est pour nous représentative d’un certain niveau politique et le mot spontané ne recouvre pas la même réalité selon qu’on est dans une période non révolutionnaire ou dans une période d’effervescence révolutionnaire ou même selon les secteurs en lutte.

Quelle organisation politique, révolutionnaire ou non, renoncerait à gagner en influence dans les masses au niveau politique, idéologique et organisationnel ? Pour nous, cela signifie contribuer à renforcer les aspirations révolutionnaires, en particulier dans la classe ouvrière. Ce sont les masses qui font l’histoire et il faut apprendre à comprendre leurs contradictions et à se faire comprendre d’elles.

Le « néo-révisionnisme », ce serait donc cela ? Ridicule et pauvre !

Ce n’est nullement en contradiction avec le fait de se concentrer sur l’éducation des ouvriers avancés que nous devons promouvoir comme cadres politiques.

Nous sommes pourtant réalistes : dans la phase actuelle de construction du parti autour de la ligne prolétarienne, la question de la qualité dans la lutte contre l’opportunisme est primordiale. Mais s’opposer dans la manifestation du 1° mai ou lors d’un mouvement de grève à l’illusion répandue qu’avec le vote Macron on combattrait le fascisme, c’est participer à l’éducation et à la direction des masses. On y contribue aussi avec la réflexion sur démocratie bourgeoise / dictature du capital et une ligne claire de « destruction de l’appareil d’État bourgeois et instauration de la dictature du prolétariat » etc …

  1. Empirisme et spontanéisme

Engluée dans sa crise, la direction de VP constate pour elle-même : « Tout en le niant, VP s’est pris pour le parti. Lorsqu’on est happé par l’activisme, on a trop rarement le temps pour le débat politique et théorique de fond ».

Tout à fait !! Empirisme et spontanéisme étaient devenus la base des interventions politiques de VP. De ce fait, VP restait sous l’influence de l’orientation politique petite bourgeoise, comme l’a déjà décrit Lénine dans « Que faire ? » A cela correspondait le rejet théorisé de l’étude sérieuse du marxisme, du léninisme et des idées de Mao (voir ci-dessus). Qu’on en ait eu conscience ou non, cela a mené à l’appauvrissement extrême d’une expérience d’un demi siècle. Ainsi face aux violences policières, VP a repris à son compte le mot d’ordre anar « tout le monde déteste la police » en Une du magazine.

Notre priorité est de construire le parti, d’apprendre à le construire, c’est une question de qualité du travail envers la classe ouvrière, d’unité entre théorie et pratique – exactement le contraire de l’activisme tout azimut. Quand nous étions encore à VP, nous avions réclamé un programme (qui actualiserait notre vision du monde) – après sa fondation, l’UPml a rédigé un projet -, et aussi un plan de construction, une stratégie et une tactique, sans nous prendre pour autant pour LE Parti.

L’accusation de néo-révisionnistes est donc sans fondement, ridicule et pas sérieuse faute d’arguments.

  1. L’appel du 1° janvier 2016, du « fractionnisme » selon VP ?

Nous avons eu raison de rédiger cet appel, résultat de polémiques internes, après le congrès de VP de 2015 (voir sur notre blog : upml.org). Des camarades ont été exclus ou s’étaient éloignés parce que des années de débats dévoyés, de critiques sans réponses, sans véritable dialogue, sans débouchés, de mises à l’écart de camarades, de calomnies ont montré qu’il n’y avait ni volonté de clarification de la ligne ni volonté d’unification.

Certains camarades avaient déjà abandonné, d’autres espéraient encore que cet appel signé par plusieurs personnes, après tant de critiques exprimées individuellement, aurait un effet. Ce ne fût pas le cas. A VP, la culture petite bourgeoise de débat faisait aussi partie intégrante de son éloignement croissant du véritable marxisme léninisme. Prendre au sérieux les contradictions, les traiter à temps, cela fait partie du b-a-ba du marxisme qui estime qu’elles sont un des éléments moteurs du développement du parti, dès le début.

L’unité de l’organisation a été détruite, non par notre appel, ultime alarme, mais par l’aveuglement de la direction de VP.

  1. VP – internationaliste ?

VP nous reproche des liens de sympathie et de camaraderie avec le MLPD. Nous sommes « pires ». Depuis la fondation de l’UPML, nous avons établi au sein de l’ICOR des liens amicaux avec plein d’autres organisations !!

La solidarité internationale et l’internationalisme prolétarien ne sont pas des mots vides de sens. Nous les pratiquons.

Le MLPD et l’ICOR nous encouragent dans la tâche difficile de construire le parti, parce qu’ils propagent le socialisme scientifique systématiquement, comme moyen pour résoudre les problèmes.  Cette coordination révolutionnaire internationale est la principale organisation qui prend position, qui pratique un internationalisme prolétarien vivant et impératif autour d’une ligne politique en développement, tout en laissant chaque parti assumer sa responsabilité dans son pays.

Comment faire une politique correcte à une époque où toutes les grandes questions de la société sont internationales ? Comment se confronter à la menace d’une 3° Guerre mondiale, à une catastrophe écologique, à la politique sociale réactionnaire dans une concurrence mondiale sans liens internationaux, sans construire un front international solide ?

Oui, nous assumons notre qualité de membres de l’ICOR. L’UPML travaille pas à pas à l’unification des communistes révolutionnaires sur les plans national et international et à l’affirmation d’une ligne révolutionnaire.

Pour quelles véritables raisons VP a-elle refusé d’adhérer à l’ICOR ?? La « peur » d’être « infectée » par des positions pas « 100 % VP » ? (voir dessus) Quelle étroitesse, quel manque de confiance en soi et dans les camarades d’autres pays de pouvoir mener le débat idéologico-politique ! Avec l’ICOR, on agit ensemble selon nos forces et on avance ensemble sans abandonner notre indépendance. VP n’est pas internationaliste, elle s’auto-isole !

  1. Chercher les conditions de l’éclatement de VP dans les conditions extérieures ?

Le texte sur «La crise de VP » accuse le MLPD d’être au moins en partie responsable de la scission de VP. Il n’en est rien. Les camarades allemands ont répondu dans une lettre ouverte aux reproches infondées faites à leur encontre (disponible à notre adresse mail).

Avec leurs reproches, la direction de VP (ou de ce qu’il en reste) veut cacher qu’elle a été incapable de mener correctement la lutte de ligne. Comme explication de sa faiblesse, elle fait intervenir un élément extérieur comme si nous, membres aujourd’hui de l’UPML, n’avions jamais eu de convictions propres, comme si nous ne les avions jamais exprimées. Elle renie ainsi ce principe du matérialisme dialectique qu’un phénomène se développe par ses propres contradictions et que la lutte de ligne est constitutive du développement d’une organisation. Mao doit une nouvelle fois se retourner dans sa tombe.

VP autour de 2010 avait aussi pris l’habitude de se soumettre aux injonctions anarchisantes de certains camarades, tout en ignorant les arguments d’autres camarades. Ce fut le cas de la « commission MLPD » : dès le départ le résultat de son travail était acquis : condamner le Parti Marxiste-Léniniste d’Allemagne (MLPD) en s’efforçant de ne pas faire connaître la pertinence de sa ligne. Manque de solidarité internationale, manque de courage pour mener la polémique et manque de confiance en soi (ou orgueil?) ont empêché un résultat constructif de tant d’énergie investie.

Le MLPD montre dans la pratique ce qu’est un travail théorique créateur sans lequel toute activité reste étroite et aveugle. Et l’UPML se sent tout à fait capable de réfléchir et d’agir sous sa propre responsabilité.

La lutte continue

Le capitalisme prouve tous les jours sa nocivité et son impasse. Chacun, chacune mûrit à travers les difficultés. Rien ne sera facile mais avec l’UPML, nous tirons les conclusions des échecs. En avant !

Organisons-nous pour construire un parti communiste

              de type nouveau sur la base du marxisme-léninisme !           

Union Prolétarienne Marxiste Léniniste, janvier 2023

 

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