7 novembre 2024

La classe ouvrière et la question nationale par Lénine

Pour que des nations différentes puissent, dans la liberté et la paix, vivre unies ou bien se séparer (lorsque cela les arrange davantage) en formant des Etats distincts, il faut la démocratie complète dont la classe ouvrière se fait le champion. Pas le moindre privilège pour aucune nation, pour aucune langue. Pas la moindre vexation, pas la moindre injustice à l’égard d’une minorité nationale. Tels sont les principes de la démocratie ouvrière.

Les prolétaires d’Ukraine et de Russie ont des intérêts de classe communs

Les prolétaires d’Ukraine, de Russie, de Biélorussie, de Pologne, des États-Unis et d’autres pays ont des intérêts de classe communs ! Et ils ne coïncident pas avec les intérêts de Poutine, Biden, Loukachenko ou Johnson. Il n’y a pas de “bon” impérialisme, il est toujours synonyme de misère, de pauvreté et de guerre. Pour mettre un terme aux impérialistes et à leurs machinations, les travailleurs ont besoin d’une révolution socialiste ! Ce n’est qu’alors que la classe ouvrière sera en mesure de réaliser ses véritables intérêts vitaux – les siens et non ceux des différents exploiteurs impérialistes.

Danièle Linhart : « Les méthodes de management….

Il s’agit toujours de faire croire aux salariés que cela est réalisé l’est pour leur bien. La logique du profit, la rationalité capitaliste deviennent l’opportunité pour les salariés de faire l’expérience de leur dimension spécifiquement humaine. D’ailleurs, les qualités qui leur sont demandées relèvent de dimensions qui vont au delà du professionnel : il s’agit de l’aptitude au bonheur, du besoin de se découvrir, de la capacité à faire confiance, à mobiliser son intuition, son sens de l’adaptation, à faire preuve de caractère, d’audace et de flexibilité…. La notion de « savoir être » est d’ailleurs devenue l’un des axes forts de la nouvelle gestion des salariés préconisée par le Medef.

Opel / Stellantis: Carlos Tavares fait marche arrière !

C’est un grand succès que Stellantis doive d’abord abandonner en grande partie ces plans. Après tout, Stellantis est le quatrième plus grand groupe automobile au monde et son patron Carlos Tavares a la réputation d’être un « assainisseur » dur. Tavares a fait un mauvais calcul et n’a pas compté sur la résistance et la solidarité qui se sont immédiatement développées au-delà des frontières du groupe et des pays.