21 novembre 2024

Rotterdam: Succès de la journée de lutte pour l’environnement de l’ICOR

Rotterdam/Pays-Bas
Succès de la journée de lutte pour l’environnement d’ICOR
La façade de la gare centrale de Rotterdam brille d’un éclairage de Noël et encore plus l’action européenne pour la journée de lutte pour l’environnement de plusieurs partis européens d’ICOR.
Le « Rode Morgen » comme hôte et organisateur, l’UPML France, l’OCB de Belgique (Organisation Communiste Belgique), le MLKP et le MLPD d’Allemagne, une organisation environnementale du Suriname. Le MLGS (Groupe marxiste-léniniste suisse) a envoyé une contribution textuelle. Le programme était international, diversifié et culturel. …

NON au Service National Universel

Non aux guerres impérialistes, non au Service National Universel (SNU)

Nos lecteurs savent que, dès la fondation du Collectif national Non au SNU, l’Union Prolétarienne a participé et contribué à l’élaboration de sa première déclaration du Collectif et à sa diffusion. Depuis, nous poursuivons la lutte.

Voici une nouvelle prise de position, au nom du Collectif, faite à l’occasion du 11 novembre, anniversaire de la boucherie de 14/18. (voir le document plus bas). Cette déclaration du Collectif est positive et nous la soutenons avec une seule réserve : la question de la guerre en Ukraine. En effet, s’il est juste de condamné l’agression Russe contre le peuple ukrainien, nous ne pouvons soutenir le régime réactionnaire de Zélinsky qui interdit les syndicats des travailleurs et les partis politiques de gauche, interdit la liberté de presse, de manifester, de se rassembler et réprime toutes oppositions. Ce régime est soutenu, encouragé et armé par l’OTAN (USA et UE). L’Otan dans sa rivalité guerrière avec la Russie ne vise pas à la libération du peuple Ukrainien mais à sa domination, à son exploitation — les capitalistes français sont dans les premiers investisseurs en Ukraine: achat de terre, d’industries, de matières premières etc. …

Dans la rue pour la Journée internationale de lutte pour l’environnement : 16 novembre 2024

Dans la rue pour la Journée internationale de lutte pour l’environnement : 16 novembre 2024. Le monde est aujourd’hui confronté à de nombreuses questions importantes et de grande portée – des crises économiques, des crises politiques et des guerres. Tout cela est complété par le danger mortel que représente la catastrophe climatique existentielle. L’OMS estime que 3,6 milliards de personnes vivent déjà dans des régions fortement touchées par la catastrophe climatique. Entre 2030 et 2050, le changement climatique devrait causer environ 250 000 décès supplémentaires par an, rien qu’en raison de la malnutrition, du paludisme, de la diarrhée et du stress thermique. Outre des climats plus chauds, les dernières années ont été marquées par des sécheresses plus sévères, des incendies de forêt plus intenses et des tempêtes plus fortes que jamais. On s’attend à ce que la fonte de la glace de mer, la fonte des glaciers, etc. entraînent une hausse du niveau de la mer dans le monde entier et inondent les villes côtières de basse altitude et même les pays….

A bas la fascisation ! Libérons Georges Ibrahim Abdallah !

Camarades et amis, par ce temps de crise globale du capitalisme mondialisé et l’exacerbation de toutes ses contradictions, ce temps de guerre, de massacre à grande échelle, de répression, de fascisation, de propagande et de manipulation, de grandes luttes et de mobilisation et surtout de ce sursaut enthousiasmant de la jeunesse agissante sur fond d’une barbarie inhérente au capitalisme moribond…. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, des millions de personnes assistent à un génocide en cours. Depuis plus de 380 jours, les génocidaires continuent à sévir à Gaza et en Cisjordanie et maintenant ils élargissent leur champ de guerre au Liban avec le soutien actif des principales puissances impérialistes de l’occident. Cependant grâce à la résistance héroïque des masses populaires palestiniennes et leurs avant-gardes combattantes, et surtout grâce aussi à la mobilisation solidaire massive un peu partout dans le monde, la Palestine résiste et réoccupe plus que jamais, sa place sur le devant de la scène internationale….

18 DÉCEMBRE: JOURNÉE INTERNATIONALE DES MIGRANT·E·S

Nous appelons toutes celles et tous ceux qui sont effrayé·e·s par la montée du racisme et la perspective d’arrivée au pouvoir du RN à manifester ensemble autour de la journée internationale des migrant·e·s. Nous sommes nombreux et nombreuses. Bien plus que les racistes,beaucoup plus que les fascistes. Ne soyons pas invisibles. N’acceptons pas d’être atomisé·e·s. Ensemble nous sommes forts et fortes. Face au racisme et aux inégalités, affirmons notre humanité. Montrons concrètement que le racisme tue, divise et détruit tandis que l’égalité et la solidarité sont désirables.
Chaque fois qu’un quartier se lève pour éviter une expulsion, exiger la régularisation d’une famille, l’hébergement et la scolarisation des mineur.es,le quartier devient plus beau,plus fort,plus solidaire. Chaque fois qu’un lieu de travail ou un lieu d’étude se mobilise pour défendre un·e collègue ou un·e camarade,nous sommes plus forts et plus fortes pour lutter, ensemble, pour nos droits.

Salon du Mondial Auto à Paris : Les travailleurs de l’automobile se mobilisent

Contre les licenciements, la précarité, l’idée d’une nécessaire lutte internationale s’est imposée lors de la manifestation d’aujourd’hui à Paris. A la fin, l’Internationale a été chantée tous ensemble. 

La CGT appelait ce jeudi 17 octobre à une journée de grève nationale du secteur de l’automobile face aux attaques massives du groupe Stellantis (PSA-Opel- Fiat- etc  ) et d’autres contre les travailleurs de l’automobile en France.
Des centaines de travailleurs ont répondu à l’appel et se sont rendus à Paris pour un rassemblement combatif devant le Salon de l’automobile. Leurs préoccupations face à la situation étaient palpables. L’automobile est dans une crise profonde, des activités sont en berne. Un camarade se disait déçu car il n’y avait pas plus de monde. Le courage de se battre doit grandir, même si les ouvriers ont le couteau sous la gorge avec la vie chère, les petits salaires, la précarité, etc. L’avenir impose la lutte et si on regarde dans les différents pays, on peut constater que des luttes ouvrières se développent en France, en Allemagne, en Italie, en Belgique…