« On croit mourir pour la Patrie, on meurt pour des industriels »

L’Administration Trump a donné le ton, avec la brutalité de la fin des statu quo, avec une remise à plat nette de ses relations avec l’Ukraine dans la confrontation qui les oppose à la Russie. En réalité, Washington souffle le chaud et le froid dans une stratégie de la tension permanente. La reprise de l’aide militaire à l’Ukraine après une « suspension » aussi courte que spectaculaire en est une parfaite illustration.

La posture américaine affichée de sortir du bourbier ukrainien – une guerre impérialiste par procuration qui a déjà beaucoup rapporté à certains industriels et financiers américains comme européens comme russes -, transparaît de cette évolution. Bien entendu, l’objectif principal de Washington est de « recentrer » les efforts américains en particulier en opposition avec la Chine.

Combattre le racisme et le fascisme !

Les politiciens bourgeois de droite cultivent la haine et le sectarisme. Retailleau (ministre de l’Intérieur) parle de « désordre migratoire », mélange immigration et criminalité tout comme Darmanin (ministre de la Justice). Bayrou, Premier ministre voit la France « submergée » par les immigré.es.
Et les idées ultradroites font leur chemin parmi une partie des travailleurs, en France comme ailleurs : Allemagne, Italie, Danemark, Belgique…
Le racisme et le fascisme se nourrissent du sentiment d’impuissance et de déception dans les masses populaires face aux soit disant politiciens et gouvernements qui ne font qu’aggraver le désastre économique, écologique et l’accroissement des inégalités sociales. ..

Solidarité avec les Ukrainiens de Russie !

Le 20 novembre, cela faisait 1000 jours que la Russie avait envahi l’Ukraine. Cette guerre a causé d’énormes dommages non seulement à la population ukrainienne, mais aussi à la partie de la population ukrainienne qui réside de manière permanente dans la Fédération de Russie.

Pendant des siècles, les Ukrainiens opprimés par la dictature des grands propriétaires terriens et du tsarisme, souffrant de la faim et du manque de terres, ont quitté leur lieu de résidence à la recherche de terres et de liberté.

Bernard Arnault a raison : le capitalisme est condamné

À l’investiture de Trump où il était au premier rang, avec les patrons du capitalisme américain, en particulier de la Bigtech, Bernard Arnault a effectivement pu constater leur enthousiasme. A partir du moment où la cupidité, l’accumulation des richesses, est le moteur des décisions et le seul, il est logique d’investir là où le minimum fiscal est imposé. Au même moment le rassemblement de Davos révélait que les préoccupations de durabilité, de diversité, d’écologie etc…. n’étaient qu’un vernis dont les dirigeants capitalistes estiment n’avoir plus besoin.

Allemagne: développement d’une nouvelle vague antifasciste !

Auschwitz : ne pas laisser de place au fascisme
Nos camarades en Allemagne écrivent à l’occasion du 80e anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitz.
« Aujourd’hui, 27 janvier 2025, c’est le 80è anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitz par l’Armée rouge. Jusqu’à 1,5 million de personnes y ont été gazées ou sont mortes d’autres tortures infligées par la direction fasciste du camp. Le MLPD rend hommage aujourd’hui à toutes les victimes du fascisme hitlérien. Il salue toute commémoration sincère en ce jour.» Peter Weispfenning, porte-parole du MLPD, fait remarquer : « 80 ans après l’écrasement du fascisme hitlérien par la coalition anti-hitlérienne dirigée par l’Union soviétique alors socialiste, un danger mondial de fascisme se répand à nouveau aujourd’hui…

Trump, Musk, et la folie impérialiste : le bal des bouffons fascisants

Dans l’énième épisode de la tragédie américaine, Donald Trump, cet éternel clown grimé en chef d’État, menace d’annexer le Canada, le Groenland et le canal de Panama. Rien que cela ! Si cela peut sembler être un mauvais sketch, ce sont les répercussions sur le monde entier qui transforment la farce en drame. Derrière les déclarations grotesques se cache une vérité bien plus inquiétante : le capitalisme en crise cherche désespérément à redistribuer les cartes géopolitiques par la force. Et soyons clairs, Trump n’est pas une aberration isolée, mais le produit inévitable d’un système impérialiste pourrissant.