Bernard Arnault a raison : le capitalisme est condamné
À l’investiture de Trump où il était au premier rang, avec les patrons du capitalisme américain, en particulier de la Bigtech, Bernard Arnault a effectivement pu constater leur enthousiasme. A partir du moment où la cupidité, l’accumulation des richesses, est le moteur des décisions et le seul, il est logique d’investir là où le minimum fiscal est imposé. Au même moment le rassemblement de Davos révélait que les préoccupations de durabilité, de diversité, d’écologie etc…. n’étaient qu’un vernis dont les dirigeants capitalistes estiment n’avoir plus besoin.