contre le fascisme et le racisme, NOUS NE NOUS TAIRONS PAS !

Dans l’attaque raciste fasciste du 23 décembre contre le Centre culturel kurde Ahmet-Kaya, à Paris dans le 10 ᵉ arrondissement, trois personnes sont mortes et plusieurs ont été blessées, dont une demeure en état d’urgence absolue. Les attaques contre les associations kurdes et les organisations de Turquie, les pressions, les dissolutions d’associations, les interdictions de drapeaux et de banderoles, ces activités criminalisées par la loi ont finalement atteint leur plus haut niveau de répression avec cette attaque armée. Nos associations, qui ont été ciblées en pointant leurs activités politiques dans les États de l’UE, sont maintenant la cible des organisations fascistes-racistes européennes conjointement à la menace du réseau d’espionnage créé par l’état fasciste turc en Europe.

Kurdistan: la résistance contre l’occupation et le fascisme vaincra !

Depuis hier soir, l’État d’occupation fasciste turc bombarde Kobanê, Zirgan, Dêrîk, Tell Tamer, Shehba au Rojava et les zones de défense de Medya. Avec ces attaques simultanées, l’État turc, qui veut briser la volonté et l’existence du peuple kurde en écrasant la révolution du Rojava, vise également la volonté des peuples arabe, assyrien, arménien et de tous les peuples de la région.

POLICE

«Les premiers réservistes massivement recrutés par la police patrouilleront dès la fin de l’été» annonce la presse officielle avec gourmandise. Macron est bien décidé à installer durablement un État policier : il embauche des agents à tour de bras, et comme ce n’est pas suffisant un appel à recruter des réservistes a été lancé en mars. L’idée est d’avoir «30 000 citoyens mobilisables 90 jours l’an» pour compléter les 140 000 policiers. 7000 personnes ont déjà répondu. La gendarmerie vise «23 000 intérimaires» sur le même modèle.

Contre Le Pen voter Macron ? Pour l’indépendance politique de notre camp !

Le premier tour de l’élection présidentielle n’a mobilisé que 3 électeurs inscrits sur 4 avec le taux d’abstention le plus élevé depuis 2002, pour les présidentielles, de 26%. Le manque de crédibilité, la déception, la trahison des intérêts des couches populaires par les représentants de la bourgeoisie en sont responsables. Pas moins de 12 candidats, mais cela n’a rien changé. Le vote non pas POUR un candidat et un programme mais plutôt CONTRE d’autres a souvent guidé le choix.