13 décembre 2024

Dans la rue pour la Journée internationale de lutte pour l’environnement : 16 novembre 2024

Dans la rue pour la Journée internationale de lutte pour l’environnement : 16 novembre 2024. Le monde est aujourd’hui confronté à de nombreuses questions importantes et de grande portée – des crises économiques, des crises politiques et des guerres. Tout cela est complété par le danger mortel que représente la catastrophe climatique existentielle. L’OMS estime que 3,6 milliards de personnes vivent déjà dans des régions fortement touchées par la catastrophe climatique. Entre 2030 et 2050, le changement climatique devrait causer environ 250 000 décès supplémentaires par an, rien qu’en raison de la malnutrition, du paludisme, de la diarrhée et du stress thermique. Outre des climats plus chauds, les dernières années ont été marquées par des sécheresses plus sévères, des incendies de forêt plus intenses et des tempêtes plus fortes que jamais. On s’attend à ce que la fonte de la glace de mer, la fonte des glaciers, etc. entraînent une hausse du niveau de la mer dans le monde entier et inondent les villes côtières de basse altitude et même les pays….

Arrêt immédiat de l’invasion barbare du Liban et de la Palestine par le sionisme Israélien !

Arrêt immédiat des bombardements barbares et l’offensive terrestre lancée de l’Israël sioniste contre le Liban et les masses libanaises !
Finis les commandos meurtriers fourbes ! Combattez avec détermination le danger d’une guerre régionale qui pourrait se transformer en un incendie généralisé et alimenter un risque de guerre mondiale aggravé !

Cessez le feu immédiatement !

Solidarité avec le peuple libanais !

Solidarité avec la lutte de libération du peuple palestinien contre le génocide !

Dans ce sens, devenez actifs pendant la semaine d’action du 1er au 7 octobre décidée par la 5e conférence mondiale d’ICOR!

L’organisation ICOR et toutes les personnes éprises de paix !

Condamne les bombardements barbares et odieux perpétrés contre le Liban et le peuple libanais !…

Déclaration ICOR : écologie et lutte des classes

L’ICOR, qui est engagée dans l’internationalisme prolétarien, reconnaît les effets dévastateurs des catastrophes climatiques aggravées par le capitalisme. Les récentes inondations dans le Rio Grande do Sul et les inondations au Kenya ainsi que la sécheresse en Afrique du Sud sont des exemples de la catastrophe écologique globale commencée. Ses phénomènes touchent tous les continents : les météos extrêmes, la disparition brutale des espèces, la destruction de la couche d’ozone et des forêts, etc. L’organisation rejette l’idée que ces catastrophes ne sont que des effets conséquents naturels et non provoqués par des actions humaines, et pointe du doigt l’exploitation capitaliste de la nature comme cause et facteur aggravant.
Nous expliquons :….

Conférence de l’ICOR-Afrique: 3 résolutions

La conférence continentale ICOR-Afrique a eu lieu. Lors de cette réunion, les partis et organisations révolutionnaires membres de l’ICOR Afrique ont discuté non seulement de la mainmise sur les ressources naturelles de l’Afrique par des trusts liés aux différents pôles impérialistes, mais aussi de la vague de coups d’État et des risques de guerre dans la zone sahélienne, notamment au Burkina. Faso, Mali, Guinée Conakry, Niger et récemment Gabon.
La Conférence Continentale de l’ICOR-Afrique, condamne fermement le rôle perfide de l’impérialisme international, notamment de l’impérialisme français, qui, à travers des accords d’assujettissement, continue de contrôler les États sahéliens afin d’exploiter leurs ressources naturelles telles que l’or et l’uranium, le pétrole, le manganèse, cuivre, gaz, etc.
Cette situation de surexploitation continue d’aggraver la crise du néocolonialisme en Afrique, en particulier dans les pays d’Afrique de l’Ouest, qui ont des taux de pauvreté très élevés. Malgré toutes les richesses précieuses disponibles dans ces pays, le système de brigandage mis en place par la France depuis les années 1960 freine non seulement le développement des États d’Afrique de l’Ouest, mais est également une source de super-profits pour l’impérialisme français et le capital financier international.

8 Mars pour la défense et la libération des femmes

Les femmes se lèvent contre les guerres et les crises. Malgré des conditions de vie très difficiles et la répression, les mères, les sœurs et les partenaires des soldats en Ukraine protestent contre l’envoi des hommes au front. En Russie, l’interdiction de se réunir ne peut plus empêcher les femmes d’exiger publiquement le retour des soldats du front. Ce sont des signaux importants dans une situation de rivalité impérialiste croissante et de la menace de guerre mondiale qui en résulte et du risque de guerre aggravé qui l’accompagne dans de nombreux points chauds du monde.

Pour le droit de se réfugier ! Stop à la politique réactionnaire de l’UE

« L’ICOR suit avec indignation le comportement révoltant des pays européens envers les immigrants et les réfugiés africains, aussi bien lors de l’embarquement à travers la Méditerranée, où ils sont abandonnés à leur sort, que lors de l’arrivée du côté européen, où ils sont entassés pendant des années dans des camps de réfugiés et attendent d’être ramenés dans leur enfer d’origine. L’ICOR revendique à juste titre le droit à la fuite et à la liberté de mouvement. Elle dénonce le fait que les frontières extérieures de l’Europe soient déplacées vers l’Afrique ».