Contre le fascisme, la guerre sociale et militaire ! Pour le socialisme véritable !

Les médias sont convoqués pour diffuser le message du gouvernement qui lui-même répète la ligne du
patronat : il faut de l’argent pour les monopoles et pour la guerre:
« Nous avons des armées meurtries par des années de coupe budgétaire et la France dépense 4 x plus pour la
protection sociale de nos concitoyens que pour la défense nationale. » (Cnews-Europe du 6 mars 2025)
Le patronat, le gouvernement et la plupart des partis,
du PS au RN veulent la réduction des salaires, des
pensions, des dépenses de santé et de l’éducation.
D’où la réforme de l’assurance-chômage,
l’augmentation à 64 ans de l’âge de départ à la retraite,
à cause d’un soi-disant « déficit » de 30 Mds en 2030 ;
et le démantèlement de la santé, de l’éducation et
autres services au public.
Pour 2026, le gouvernement prévoit à nouveau 30 Mds
d’économies, mais pas question de supprimer les 200
Mds de cadeaux annuels aux entreprises monopolistes.
La guerre signifie des profits extraordinaires pour
l’industrie et le bâtiment !

Face au génocide israélien, préparons une journée de NAKBA mondiale

En lançant une nouvelle offensive terrestre, le gouvernement fasciste de Netanyahou a déclenché une nouvelle vague de génocide contre les Palestiniens à Gaza. À Jabalia, au moins 19 personnes ont été tuées lors du bombardement d’un hôpital de l’UNRWA. Un convoi de secouristes a été assassiné et enterré avec des pelles mécaniques. L’approvisionnement en électricité est coupé depuis le 9 mars. Avec l’avancée dans Rafah et la déclaration démagogique de « zones de sécurité », qui sont des zones de mort pour les Palestiniens, l’occupation de l’ensemble de la bande de Gaza est accélérée et la vie y devient de plus en plus insupportable.
Les États-Unis sont le principal instigateur et architecte de l’attaque barbare d’Israël contre Gaza. Le président américain Donald Trump demande au peuple palestinien de quitter Gaza et de céder la terre palestinienne aux États-Unis afin d’y construire un lieu de vacances et de tourisme. Cela ne peut jamais être accepté, ne serait-ce que de manière rudimentaire.

ICOR : Solidarité avec les manifestations de masse en Turquie

L’État fasciste turc mène une politique de guerre contre le mouvement de libération kurde et ses revendications légitimes. Il met fin aux administrations municipales élues en nommant des administrateurs forcés et arrête en masse les forces socialistes, révolutionnaires et démocratiques. Ce faisant, il s’attaque à la fois au mouvement ouvrier et au mouvement des femmes, et démantèle systématiquement les quelques droits démocratiques qui existent dans le pays. En même temps, il mène des guerres d’occupation expansionnistes, dans lesquelles les peuples de la région sont déclarés cibles.

Alors que les manifestations de masse contre le gouvernement AKP-MHP se multiplient, le régime devient encore plus agressif. Ce conflit au sein de la bourgeoisie ne s’arrêtera pas là ; il s’étendra également à certaines factions de la classe dirigeante…

CAMEROUN : Mobilisations populaires et répression

La dégradation actuelle de la situation politique…

…est décrite dans un autre rapport : En cette année électorale cruciale au Cameroun, prévue pour octobre 2025, le climat politique est marqué par une intensification des violations des droits humains et des restrictions des libertés fondamentales, notamment la liberté d’association, d’expression et de manifestation. Les autorités camerounaises ont adopté plusieurs mesures qui suscitent de vives inquiétudes quant au respect des principes démocratiques et des droits civils. Le 12 mars 2024, le ministre de l’Administration territoriale, Paul Atanga Nji, a déclaré illégales deux coalitions de l’opposition, à savoir l’Alliance politique pour le changement (APC) et l’Alliance politique pour la transition (APT). Ces mouvements ont été qualifiés de « clandestins », notamment en raison de rencontres entre leurs leaders et des figures du mouvement séparatiste anglophone. Cette décision a été dénoncée par notre parti comme une tentative manifeste de museler l’opposition et de restreindre davantage l’espace démocratique à l’approche des élections présidentielles.

Défendez la révolution des femmes du Rojava !

Défendez la révolution des femmes du Rojava !

Ces jours-ci, le Rojava est menacé de toutes parts par des États et des milices fascistes, islamistes dominés par les hommes. Face à cette tempête, la révolution du Nord et de l’Est de la Syrie se dresse comme une montagne.

Au cœur du Moyen-Orient, nous, les peuples du Rojava, du Nord et de l’Est de la Syrie, luttons et résistons sur le front, dans les tranchées, dans les villes, les quartiers et aux postes-frontières pour défendre notre révolution démocratique, notre terre et la révolution des femmes. Les attaques des États coloniaux envahisseurs et des milices islamistes ne nous font pas peur. Nous ne connaissons pas la peur. Même sous les bombardements, nous ne cesserons jamais de défendre nos positions, nos villages, nos villes et nos terres.

Les milices fascistes islamistes contrôlent l’État syrien

Il y a environ deux mois, Hayat Tahrir al-Cham (HTC), avec l’accord du régime assassin et colonialiste d’Assad, a pris le contrôle de l’État bourgeois syrien. Soutenu par les puissances impérialistes et des États réactionnaires régionaux comme la Turquie et l’Israël, le HTC cherche à consolider sa position sous le masque de la démocratie.

« On croit mourir pour la Patrie, on meurt pour des industriels »

L’Administration Trump a donné le ton, avec la brutalité de la fin des statu quo, avec une remise à plat nette de ses relations avec l’Ukraine dans la confrontation qui les oppose à la Russie. En réalité, Washington souffle le chaud et le froid dans une stratégie de la tension permanente. La reprise de l’aide militaire à l’Ukraine après une « suspension » aussi courte que spectaculaire en est une parfaite illustration.

La posture américaine affichée de sortir du bourbier ukrainien – une guerre impérialiste par procuration qui a déjà beaucoup rapporté à certains industriels et financiers américains comme européens comme russes -, transparaît de cette évolution. Bien entendu, l’objectif principal de Washington est de « recentrer » les efforts américains en particulier en opposition avec la Chine.