25 décembre 2024

«Sacrifices» : Macron rêve de troisième guerre mondiale

Article agitatoire intéressant d’un lecteur, toutefois nous ne pensons pas que Macron soit « fou » ou « psychotrope ». Il est un représentant des intérêts de sa classe sociale, plus précisément de la fraction capitaliste monopoliste  de celle-ci. Il est un membre du capitalisme monopoliste d’État. Cette classe dominante voit de plus en plus la course à la guerre comme étant la solution à la profonde crise que nous traversons.(la rédaction du site)

«Sacrifices». Le mot est lâché, répété, comme un prélude mortifère à la guerre.

Le fameux «sacrifice» réclamé par les puissants, c’est celui des peuples qui sont envoyés dans les boucheries des guerres. Le «sacrifice» en 1914, en 1939, des millions de vies fauchées, des générations d’orphelins. Ce «sacrifice» a été prononcé trois fois ces deux derniers jours.

Par Macron d’abord. Mercredi, le président lançait les cérémonies du débarquement en déclarant : «Je sais notre pays fort d’une jeunesse audacieuse, vaillante, prête au même esprit de sacrifice que ses aînés». Puis il s’est tourné vers les militaires présents : «Vous rappelez que nous sommes prêts à consentir aux mêmes sacrifices pour défendre ce qui nous est le plus cher : notre terre de France et nos valeurs républicaines».

La chorale parisienne ‘L’Ut-en-Chœur’ chante « L’âme de la Palestine »

L’Ut en Chœur est une association, créée en 2008, dont l’objet est la pratique du chant choral pour toutes et tous afin de « chanter pour des idées » : promouvoir, faire vivre et transmettre un répertoire de chants engagés d’hier et d’aujourd’hui, soutenir des actions humanistes et de lutte sociale.

L’Ut en Chœur participe annuellement aux commémorations pour la Commune de Paris. Vous la trouvez dans les mobilisations et dans les luttes pour la liberté, l’égalité et la fraternité véritables, pour la solidarité internationale.En novembre 2024, la Chorale fêtera ses 15 ans d’existence. Prochaine apparition : au festival parisien « Voix-sur-Berges » avec plus de 150 chorales différentes le long du canal Saint-Martin dimanche 23 juin 2024.

A propos de l’Union Européenne, ce qu’il faut savoir ! (partie 2)

Seconde partie de l’article
L’UE humaniste ? Sociale ? Démocratique ?
Voyons ce qu’il en est. La Commission européenne (CE) de l’UE définit, tous les ans, les « Grandes Orientations de Politique Économiques » (les « GOPÉ ») ; ces orientations sont construites à partir et avec les États de l’UE ; et en particulier avec les États les plus puissants Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie….
Ces Grandes Orientations sont recommandées (certains disent : imposées) chaque année par la Commission européenne et elles sont devenues de véritables instruments de contrôle : La CE surveille l’application des GOPÉ grâce aux informations fournies par les États.
On voit bien ainsi que les États (France, Allemagne, Hollande, Belgique, etc.) sont totalement impliqués dans les décisions dites de Bruxelles (en fait de la Commission Européenne)!

A propos de l’Union Européenne, ce qu’il faut savoir ! (partie 1)

Première partie d’un article: 
Une brève histoire de l’UE
La Communauté économique européenne à 6 États, fondée en 1957, était une alliance d’impérialistes individuellement trop faibles pour rivaliser avec les grands impérialistes. Après l’effondrement de l’Union soviétique en 1990, les dirigeants de l’UE ont formulé des prétentions à devenir la première puissance économique du monde.
Avec plus de 500 millions d’habitants (y compris la Grande-Bretagne), l’UE est l’une des plus grandes zones économiques du monde. En 1997, le traité d’Amsterdam a créé le principe de l’intégration progressive qui, avec la naissance d’une zone euro, permettait aux grands pays de faire progresser l’intégration dans certains domaines. En 2000, le Traité de Lisbonne avait pour objectif ambitieux de devenir la première puissance économique mondiale. En 2003, la « stratégie européenne de sécurité » (SSE) a visé officiellement à établir l’UE en tant qu’acteur mondial et à mettre en œuvre une stratégie politique, économique et militaire d’expansion. Cette expansion a été initialement mise en œuvre avec un développement progressif de l’UE à 28 États. …. Les monopoles de l’UE étaient alors très intéressés par l’Ukraine : ses ressources minérales et ses vastes zones agricoles. On voit aujourd’hui jusqu’où cela a été : à la guerre….

Appel du Mouvement des étudiants palestiniens de la bande de Gaza

Alors qu’Israël poursuit sa guerre génocidaire jusqu’au dernier refuge de Rafah, les étudiants palestiniens lancent un vibrant appel à celles et ceux qui manifestent sur les campus partout dans le monde. Ils saluent chaleureusement les manifestants comme partie prenante du mouvement de libération de la Palestine et les appellent à intensifier cette intifada mondiale des étudiants pour stopper la complicité des gouvernements occidentaux dans le massacre en cours.
Au mouvement mondial des étudiants cherchant à mettre un terme à la guerre génocidaire.
Il est temps de passer à une intensification du caractère révolutionnaire de l’intifada mondiale des étudiants en faveur de la Palestine
Nous rédigeons cet appel à partir de notre mouvement estudiantin dans la bande de Gaza, depuis le cœur de la Palestine occupée, sous l’extrême brutalité des bombardements sionistes, des explosions et des déflagrations du monstrueux cauchemar de mort…

Pour la défense de la libération nationale kanake

En ouvrant le corps électoral de Nouvelle-Calédonie aux colons arrivés après 1998, cette loi menace non seulement d’étouffer électoralement le mouvement indépendantiste, mais surtout d’ouvrir la colonie au peuplement européen : une « recolonisation », pour reprendre les mots de la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT).2
L’État bourgeois impérialiste n’hésite pas à changer les règles du jeu s’il n’en est plus le gagnant — par la force si nécessaire. Il ne reconnaît qu’une seule légitimité, celle de ses intérêts, et ne connaît qu’un langage, la contrainte.
La crise qui secoue actuellement la Nouvelle-Calédonie est révélatrice.
Dans les colonies se pose un problème universel : comment assurer l’hégémonie coloniale ? La réponse peut se résumer en une phrase : en transformant une minorité coloniale en majorité coloniale.
Ce n’est ni plus ni moins que ce problème — celui de l’hégémonie coloniale — qui se pose aujourd’hui en Nouvelle-Calédonie. Derrière le problème du corps électoral provincial spécial, il y a le problème du colonialisme. L’enjeu, c’est de faire de la Nouvelle-Calédonie une simple partie de la nation française, aux dépens de la nation indigène.
Cela, personne ne l’exprime aussi clairement que Sonia Backès, présidente de la Province Sud et fer de lance du colonialisme en Nouvelle-Calédonie…