13 décembre 2025

18 décembre, UNE JOURNÉE SANS NOUS !!

Nous avons signé et nous participerons au rassemblement à République (Paris) partir de 14 heures. Les migrants sont une partie importante de la classe ouvrière. Aujourd’hui, avec le développement important de la précarité, de la pauvreté et de la fascisation les migrants sont les premières victimes de l’oppression capitaliste. De nombreuses raisons pour que les communistes révolutionnaires soient à l’avant-garde de la résistance.
18 décembre, UNE JOURNÉE SANS NOUS : si on s’arrête, tout s’arrête !
Ce pays ne marche pas sans immigré·e·s. Il n’existe pas sans l’immigration et en bénéficie à tous points de vue.
Ce n’est pas l’immigration qui le détruit, ce sont les politiques menées, le racisme et l’injustice.

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Retour de la COP30 au Brésil ; et les actions de l’ICOR

Mi-temps à la COP30, la conférence de l’ONU sur le climat au Brésil. C’était l’occasion de plus de 50 000 personnes pour une puissante manifestation au cours de laquelle des dizaines de milliers de personnes, dont de nombreux autochtones, se sont déplacées à travers le centre de la ville de Belém avec des militants écologistes internationaux.
La « Marche pour le climat » a appelé à la fois à la défense des zones des communautés autochtones attaquées par les bûcherons et les prospecteurs d’or illégaux, et à des mesures sérieuses de protection de l’environnement. Ils ont appelé à la protection des peuples autochtones, de la forêt tropicale et à l’élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz, et s’abandonnent de plus en plus avec les promesses des gouvernements des États capitalistes et impérialistes, mais cela ne se reflète pas seulement dans la protestation de plus en plus forte. Parallèlement à la COP30, le « Sommet du peuple » avec des centaines d’organisations, de mouvements et de réseaux du Brésil et de l’étranger aura lieu sur le site de l’Université de Belém.

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Solidarité avec les Prisonnier·ère·s Politiques, les 20-21 décembre 2025 à Paris

Ceux et celles qui luttent contre les guerres impérialistes et l’armement, contre l’exploitation capitaliste, contre le fascisme, contre l’ordre patriarcal et contre le pillage de la nature, se heurtent à une terreur généralisée faite d’arrestations par les classes dominantes. À travers le monde, des centaines de milliers de prisonnières et prisonniers politiques sont privé·e·s de liberté et poursuivent, dans les conditions les plus dures, leur combat pour leurs idéaux.
L’isolement, la torture, le refus de soins et de libération, les interdictions de communication et d’autres violations de droits visent à briser et soumettre la volonté des détenu·e·s. De la Turquie-Kurdistan à la Palestine, de l’Inde à l’Iran, des États-Unis aux Philippines, du Pérou aux pays de l’Union européenne, partout dans le monde, les prisonnières et prisonniers politiques résistent à toutes les pressions en défendant leurs idéaux révolutionnaires et leur dignité humaine.

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Message de la CGT Stellantis à la conférence internationale de Pune

Une même stratégie mondiale de Stellantis : réduire les volumes, fermer des sites, baisser la masse salariale
En France comme en Allemagne, en Italie, en Pologne, en Espagne et ailleurs, la direction de Stellantis applique la même politique de casse industrielle, sous couvert de transition énergétique ou de prétendues évolutions du marché.
Ces dernières semaines, Stellantis a officiellement annoncé la fin de la production automobile à Poissy, comme Filosa l’a déclaré à l’ensemble des organisations syndicales le 3 novembre.

Poissy s’ajoute désormais à la longue liste des sites fragilisés ou menacés dans le groupe : Douvrin, Rennes, Sochaux, Mulhouse, Hordain, Madrid, Melfi, Eisenach, Rüsselsheim, Glivice…

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Fascisation : la bourgeoisie laisse tomber les masques

La bourgeoisie impérialiste n’avance jamais seule derrière son masque démocratique. Elle vient toujours flanquée de trois compagnes : la régression, la réaction et la fascisation. À chaque fois que ses « affaires » vont mal, que la concurrence s’aiguise, que son taux de profit s’effondre, que la plus-value se fait plus dure à extorquer, la bourgeoisie dévoile sa véritable nature : prédatrice, violente, décadente.
Nous y sommes. Pas dans une hypothèse, pas dans un futur à craindre mais une réalité déjà à l’œuvre.

Depuis 1945, elle avait concédé une série d’acquis sociaux, non par grandeur d’âme, mais par nécessité historique : menace révolutionnaire, reconstruction, rapport de forces défavorable.
Ce compromis, même minimal, était devenu pour elle un poids, un frein.
Aujourd’hui elle veut solder les comptes.

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29 novembre – dans la rue pour la lutte de libération du peuple palestinien !

Les habitants de Gaza, qui n’ont pas baissé les bras face au tentative de génocide et les millions de personnes qui se sont engagées en faveur d’une paix véritable et pour la reconnaissance de la Palestine par des actions de solidarité sans précédent à l’échelle mondiale se mobilisent à nouveau.

Les partis et organisations révolutionnaires et marxistes-léninistes en ont été à maintes reprises le moteur et les initiateurs des mobilisations et des grèves.

Pour le 29 novembre, la délégation mexicaine au 29e séminaire international des partis du CIPOLM qui s’est tenu fin juillet 2025 à Quito, en Équateur, a proposé d’organiser une journée internationale de lutte commune le 29 novembre, au-delà de toutes les tendances du mouvement révolutionnaire. Cela permettrait de souligner par une action concrète la détermination à renforcer l’union entre les deux plus grandes organisations internationales de partis et d’organisations révolutionnaires, l’ICOR et la CIPOLM.

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