19 juin 2025

Nestlé Waters : pillage écologique organisé par l’État bourgeois !

L’État au service du capital : le véritable commanditaire du crime

Ce n’est pas Nestlé qui a « trompé » l’État. C’est l’État qui a protégé Nestlé. Ce sont les préfets, les services de la DREAL, les ministères de l’environnement, les élus locaux, qui ont validé, couvert, cautionné cette exploitation illégale. L’État n’a pas été dupé : il a été l’organisateur en chef du vol de l’eau.

Pendant que les populations locales alertaient, que les collectifs citoyens dénonçaient les baisses du niveau des nappes, l’administration répondait par le mépris ou le silence. Pire : elle modifiait les règlements, blanchissait les dépassements de seuils, classait confidentiels les rapports d’inspection.

Appel à préparer un Conseil International sur environnement en 2026

La soif de profit et l’exploitation effrénée de la nature détruisent l’environnement naturel : l’empoisonnement de l’air, de l’eau, des aliments et des êtres vivants, le gaspillage des richesses naturelles, la menace d’une catastrophe climatique, l’utilisation de l’énergie nucléaire etc. attaquent de tout côté les bases de toute vie humaine. Une catastrophe écologique planétaire nous menace ! Les quelques mesures prises par le « capitalisme vert » et ses gouvernements sont vouées à calmer les masses, mais elles sont totalement insuffisantes. La question environnementale est devenu une question centrale de la lutte des classes nationale et internationale. Le socialisme véritable comme alternative au capitalisme s’impose pour sauver l’humanité  ! »

Rotterdam: Succès de la journée de lutte pour l’environnement de l’ICOR

Rotterdam/Pays-Bas
Succès de la journée de lutte pour l’environnement d’ICOR
La façade de la gare centrale de Rotterdam brille d’un éclairage de Noël et encore plus l’action européenne pour la journée de lutte pour l’environnement de plusieurs partis européens d’ICOR.
Le « Rode Morgen » comme hôte et organisateur, l’UPML France, l’OCB de Belgique (Organisation Communiste Belgique), le MLKP et le MLPD d’Allemagne, une organisation environnementale du Suriname. Le MLGS (Groupe marxiste-léniniste suisse) a envoyé une contribution textuelle. Le programme était international, diversifié et culturel. …

Trump : anti-écologisme et répression

Manifestons pour la Journée internationale de lutte pour l’environnement le 16 novembre 2024 Le monde est aujourd’hui confronté à de nombreuses questions importantes et de grande portées – des crises économiques, des crises politiques et des guerres. Tout cela est complété par le danger mortel que représente la catastrophe climatique actuelle. L’ICOR, avec d’autres organisations, concentrera ses forces dans un rassemblement à Rotterdam au Pays-Bas.
L’article qui suit a été réalisé à partir d’informations de la revue en ligne « Reporterre »

Donald Trump a dépassé la majorité absolue de 270 grands électeurs et battu sa rivale démocrate, Kamala Harris. Un « désastre », disent les écologistes…

Dans la rue pour la Journée internationale de lutte pour l’environnement : 16 novembre 2024

Dans la rue pour la Journée internationale de lutte pour l’environnement : 16 novembre 2024. Le monde est aujourd’hui confronté à de nombreuses questions importantes et de grande portée – des crises économiques, des crises politiques et des guerres. Tout cela est complété par le danger mortel que représente la catastrophe climatique existentielle. L’OMS estime que 3,6 milliards de personnes vivent déjà dans des régions fortement touchées par la catastrophe climatique. Entre 2030 et 2050, le changement climatique devrait causer environ 250 000 décès supplémentaires par an, rien qu’en raison de la malnutrition, du paludisme, de la diarrhée et du stress thermique. Outre des climats plus chauds, les dernières années ont été marquées par des sécheresses plus sévères, des incendies de forêt plus intenses et des tempêtes plus fortes que jamais. On s’attend à ce que la fonte de la glace de mer, la fonte des glaciers, etc. entraînent une hausse du niveau de la mer dans le monde entier et inondent les villes côtières de basse altitude et même les pays….

COP 16 : le capitaliste peut-il protéger la nature ?

COP 16 : l’économie capitaliste peut-elle protéger la nature ?
 Les promoteurs des « crédits biodiversité » à la COP16 jurent que donner une valeur monétaire aux écosystèmes permettra de les protéger. « Naïf », « absurde » et porteur de « dangers insurmontables », selon les écologistes qui s’y opposent.
Puisque l’économie capitaliste ravage le vivant sur Terre comme jamais auparavant, il suffirait d’intégrer le vivant dans l’économie capitaliste pour arrêter le massacre. La tentation de financiariser la nature pourrait quoi qu’il en soit franchi un cap décisif dans les prochains jours. Ce sera l’un des sujets scrutés par les participants à la COP16.
Les termes « crédits biodiversité » devaient notamment occuper les discussions. Ceux-ci consisteraient à évaluer le gain économique que représenterait la préservation ou la restauration de tel ou tel écosystème. Par exemple : la valeur du service écosystémique que représente la filtration de l’eau par une zone humide restaurée, la protection contre la submersion d’une mangrove que l’on renonce à détruire, etc. Les actions vertueuses en faveur de la protection de la biodiversité auraient ainsi une valeur monétaire, convertible en crédits que pourraient générer ou s’échanger les acteurs sur le marché….