L’UPML – contre la guerre impérialiste
20 000 personnes, surtout des jeunes, ont défilé dans Paris lors de la manifestation pour la journée contre le racisme et les violences d’Etat.
Anti-capitaliste, pour le socialisme véritable
20 000 personnes, surtout des jeunes, ont défilé dans Paris lors de la manifestation pour la journée contre le racisme et les violences d’Etat.
Dans le cadre de la Coordination internationale des travailleurs de l’automobile (CITA), des collègues d’entreprises Ford ont lancé, au-delà des frontières, une résolution commune contre la guerre en Ukraine et la politique de guerre des gouvernements.
l’ICOR déclare sa condamnation déterminée de l’invasion russe de l’Ukraine. Ainsi, non seulement le droit international bourgeois en vigueur est foulé aux pieds. C’est surtout le principe socialiste du droit des peuples à l’autodétermination qui est attaqué et diffamé. Une guerre locale a ainsi été ouverte et un danger de guerre aigu est apparu, avec la possibilité d’une dimension mondiale. Ceci dans le cadre d’un affrontement ouvertement belliqueux entre le principal belligérant général, les États-Unis et l’OTAN, et la Russie impérialiste, d’où provient l’agression actuelle contre l’Ukraine.
La lutte des différents blocs impérialistes pour une nouvelle repartition de leurs sphères de pouvoir et d’influence, aggravée par la crise économique et financière mondiale persistante, est à l’origine de l’aggravation actuelle. La crise capitaliste des matières premières, en particulier, freine le développement économique.
À l’échelle mondiale, la grande masse des femmes doit lutter contre les conséquences désastreuses de Corona et de la crise économique et financière mondiale et des guerres impérialistes. Violence, faim, catastrophes écologiques, guerre et oppression poussent à la fuite massive et détruisent des familles.
Les prolétaires d’Ukraine, de Russie, de Biélorussie, de Pologne, des États-Unis et d’autres pays ont des intérêts de classe communs ! Et ils ne coïncident pas avec les intérêts de Poutine, Biden, Loukachenko ou Johnson. Il n’y a pas de “bon” impérialisme, il est toujours synonyme de misère, de pauvreté et de guerre. Pour mettre un terme aux impérialistes et à leurs machinations, les travailleurs ont besoin d’une révolution socialiste ! Ce n’est qu’alors que la classe ouvrière sera en mesure de réaliser ses véritables intérêts vitaux – les siens et non ceux des différents exploiteurs impérialistes.