16 juillet 2024

Pour l’indépendance de la Kanaky/Nouvelle-Calédonie : non au dégel du corps électoral ! non à la recolonisation !

Par Collectif Solidarité Kanaky,
Le projet de loi constitutionnelle de dégel du corps électoral calédonien est débattu ces 2 jours à l’Assemblée nationale. Cette loi est comprise en Nouvelle-Calédonie comme une volonté d’en finir avec le processus de décolonisation engagé par l’accord de Nouméa. Résultat : une montée des tensions, des mobilisations multiples et puissantes dans tout le pays, et la menace d’un embrasement. Le collectif Solidarité Kanaky en appelle aux parlementaires pour retirer ce projet de loi.
Paris le 13 mai 2024,
Pour tenter d’arrêter ce processus dangereux pour l’avenir du peuple kanak, les élus du congrès de Nouvelle Calédonie se sont réunis ce lundi 13 mai et sont parvenu à adopter, à la majorité, une résolution demandant le retrait de ce projet de loi sur le corps électoral. Les élus rappellent à l’État qu’ils sont majoritairement contre ce projet de loi.

Que le drapeau de la lutte des femmes afghanes soit hissé encore plus haut !

Une année s’est écoulée depuis le retour au pouvoir des fanatiques talibans. Il était facilement prévisible que les femmes et les jeunes filles seraient les premières victimes de ce régime barbare et qu’elles feraient face à une agression dévastatrice et inhumaine dans tous les domaines de la vie. Cependant, les femmes de notre pays ont prouvé qu’aucune force ne pouvait imposer son idéologie réactionnaire ou les retenir prisonnières dans leurs foyers. Les femmes afghanes ont marqué l’histoire en levant le drapeau de la lutte contre les Talibans et pour la liberté et la justice. Dès les premiers jours de la prise du pouvoir par les Talibans, ces femmes ont protesté dans les rues sans craindre les armes à feu ou les coups de fouet ; elles ont été réprimées, menacées et humiliées, mais ont courageusement poursuivi leur combat.

Sri Lanka: de la crise au soulèvement de 2022

Pour le parti, la crise financière et économique actuelle est le résultat de la « politique économique ouverte » adoptée par le gouvernement de l’UNP1 en 1978. Depuis lors, le marché a été inondé d’importations non vitales, le consumérisme a infecté l’ensemble de la société et le pays a été ouvert aux capitaux étrangers prédateurs à la recherche de profits à court terme. La destruction délibérée de l’économie nationale se poursuit malgré le changement de gouvernement. Les problèmes ont été aggravés par la transformation de la question des nationalités en guerre depuis 1977, et trois décennies de guerre ont servi de prétexte à la privatisation et à la vente de biens publics à des acheteurs étrangers.