Notre deuil est porté par la ferme volonté de mener la lutte contre les commanditaires de cet attentat fasciste de manière conséquente. L’organisation membre de l’ICOR, le MLKP, estime que « l’État fasciste turc se cache manifestement derrière l’attentat actuel du 23 décembre et qu’il faut également supposer une collaboration entre les États turc et français ». Le gouvernement fasciste AKP/MHP de Turquie porte partout la persécution, la criminalisation et la tentative d’anéantissement de la lutte pour la liberation du peuple kurde. Le 9 janvier 2013, les révolutionnaires kurdes Sakine Cansız, Fidan Doğan et Leyla Şaylemez avaient été assassinées à Paris. Jusqu’à aujourd’hui, l’État français fait traîner l’enquête.