27 décembre 2024

9 février 1934 : résistance antifasciste dans l’Est parisien

Après la manifestation antiparlementaire du 6 février 1934, conduite par les ligues d’extrême-droite, un vaste front antifasciste se construit partout en France. Le 9 février, le Parti communiste appelle à manifester en masse place de la République, réclamant notamment l’arrestation du préfet de police Jean Chiappe et la dissolution des ligues fascistes. Des affrontements violents opposent flics et manifestants : plusieurs ouvriers sont abattus, des centaines sont blessés.

Solidarité avec « Nantes Révoltée ! »

L’impérialisme c’est la réaction sur toute la ligne. Le front uni anti-impérialiste met donc à l’ordre du jour la lutte pour la préservation et l’extension des droits et libertés démocratiques. Nous visons l’anticommunisme des dirigeants qui tente de discréditer le socialisme comme alternative à l’impérialisme aux yeux des masses.

Intérêts privés, intérêt public…

 En France règne le capitalisme monopoliste d’État dans le cadre

de la production internationalisée : les monopoles internationaux

d’origine française ou domiciliés ici se sont complètement subordon-

nés l’État ; leurs organes de direction ont fusionnés avec ceux de

l’État et ils ont érigé leur dictature sur tous les secteurs de la société.

Environnement et Pandémies

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la covid-19 relève du surréalisme, pas de la science ! », affirmait Luc Ferry en mars 2020, accusant les écologistes de « récupération politique ». Voilà un philosophe bien mal informé. Car, depuis les années 2000, des centaines de scientifiques tirent la sonnette d’alarme : les activités humaines, en précipitant l’effondrement de la biodiversité, ont créé les conditions d’une « épidémie de pandémies ».

CE SONT NOS ENFANTS QU’ON ASSASSINE !

Le gâchis consiste à étouffer l’élan vital d’une nation en s’entêtant à briser la volonté des jeunes qui s’impliquent pour le changement ! Ce sont pourtant ces enfants qui devront poursuivre avec ce Kamerun, cela va s’en dire, quand des vieux de mon âge, quand des plus vieux encore de l’âge de Biya, quand nous serons plus là. Qu’on le veuille ou pas, ces quatre jeunes gens, comme il y en a des millions dans notre vaste pays, seront la grande masse agissante de demain, la colonne vertébrale sur laquelle tout reposera dans notre pays : les activités économiques et sociales, le développement en un mot.