16 juillet 2024

Guerre impérialiste en Ukraine –  résistance active contre toute politique impérialiste des va-t’en guerre !

La lutte des différents blocs impérialistes pour une nouvelle repartition de leurs sphères de pouvoir et d’influence, aggravée par la crise économique et financière mondiale persistante, est à l’origine de l’aggravation actuelle. La crise capitaliste des matières premières, en particulier, freine le développement économique.

Le socialisme et la guerre

Presque tout le monde reconnaît que la guerre actuelle est une guerre impérialiste, mais le plus souvent on déforme cette notion, ou bien on l’applique unilatéralement, ou bien on insinue que cette guerre pourrait avoir une portée progressiste bourgeoise, de libération nationale. L’impérialisme est le degré supérieur du développement du capitalisme, que celui ci n’a atteint qu’au XX° siècle. Le capitalisme se sent désormais à l’étroit dans les vieux Etats nationaux sans la formation desquels il n’aurait pu renverser le régime féodal…

Résistance active contre les préparatifs de guerre impérialistesde l’OTAN et de la Russie !

Alors que l’OTAN n’a cessé, au cours des dernières décennies, de poursuivre son élargissement à l’Est et que le régime réactionnaire ukrainien s’est doté de plus en plus d’armes et des munitions, la Russie impérialiste a depuis des mois déjà une armée de 100 000 hommes équipée d’engins lourds et d’armes d’attaque concentrés à la frontière ukrainienne. L’armée est également renforcée en Crimée occupée et dans la partie du Donbass contrôlée par les « républiques » favorables à Poutine.

Solidarité

Notre pays construit des ponts pas des murs. D’où que l’on vienne, où que l’on soit né·e, notre pays existe. Il s’appelle Solidarité.

Notre pays n’a ni carte, ni limites. Il ne fait pas la guerre si ce n’est au fascisme, au colonialisme, au racisme, à l’injustice et aux inégalités.

Notre pays n’existe pas isolé, atomisé, soumis. Il existe dans tout ce qui relie, regroupe, donne confiance et lutte.

Car notre pays brûle. Il s’appelle Avenir.