18 décembre 2025

18 décembre, UNE JOURNÉE SANS NOUS !!

Nous avons signé et nous participerons au rassemblement à République (Paris) partir de 14 heures. Les migrants sont une partie importante de la classe ouvrière. Aujourd’hui, avec le développement important de la précarité, de la pauvreté et de la fascisation les migrants sont les premières victimes de l’oppression capitaliste. De nombreuses raisons pour que les communistes révolutionnaires soient à l’avant-garde de la résistance.
18 décembre, UNE JOURNÉE SANS NOUS : si on s’arrête, tout s’arrête !
Ce pays ne marche pas sans immigré·e·s. Il n’existe pas sans l’immigration et en bénéficie à tous points de vue.
Ce n’est pas l’immigration qui le détruit, ce sont les politiques menées, le racisme et l’injustice.

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Fascisation : la bourgeoisie laisse tomber les masques

La bourgeoisie impérialiste n’avance jamais seule derrière son masque démocratique. Elle vient toujours flanquée de trois compagnes : la régression, la réaction et la fascisation. À chaque fois que ses « affaires » vont mal, que la concurrence s’aiguise, que son taux de profit s’effondre, que la plus-value se fait plus dure à extorquer, la bourgeoisie dévoile sa véritable nature : prédatrice, violente, décadente.
Nous y sommes. Pas dans une hypothèse, pas dans un futur à craindre mais une réalité déjà à l’œuvre.

Depuis 1945, elle avait concédé une série d’acquis sociaux, non par grandeur d’âme, mais par nécessité historique : menace révolutionnaire, reconstruction, rapport de forces défavorable.
Ce compromis, même minimal, était devenu pour elle un poids, un frein.
Aujourd’hui elle veut solder les comptes.

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« Bloquons tout », mais pour aller où ?

Le pouvoir politique vacille —- Le pouvoir veut imposer un budget d’austérité –un budget pour une économie de guerre—-
L’anticapitalisme progresse « Bloquons tout », mais pour aller où ?
Venez en discuter, pour comprendre et pour un changement sur le fond au Café militant
Bloquons tout –pour aller où ?
Le socialisme révolutionnaire-nostalgie ou nécessité ?

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Crise politique et décomposition du régime bourgeois

Les racines de la crise: le système capitaliste lui-même
1. Travail contre capital
La contradiction fondamentale du système éclate : pour maintenir leurs profits, les capitalistes pressurent les travailleurs, réduisent les salaires, flexibilisent l’emploi, cassent les services aux publics.
Mais ce faisant, ils étouffent la demande, bloquent la consommation, provoquent chômage et misère. La société se scinde toujours plus entre une minorité parasitaire qui s’enrichit et une majorité exploitée qui s’appauvrit. L’ordre bourgeois devient instable, incapable de contenir la colère sociale que lui-même provoque.
2. Capital «national» contre capital mondial
Le capitalisme «français» est intégré au capitalisme impérialiste mondial. Les bourgeoisies «nationales» ne sont plus souveraines : elles obéissent aux marchés mondiales et à ses institutions : la Commission européenne, à la BCE, au FMI,….
Elles prétendent défendre tels intérêts nationaux tout en livrant ses entreprises, ses terres, son énergie et son industrie au capital international. Elles ne peuvent faire autrement, seul le profit guident leur investissement. De là naît la crise de légitimité politique: tous les discours mensongers qui se cachent derrière «l’intérêt national» ne sont plus crédibles.

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PD n°40 : Bloquons tout – Organisons nous – Pour changer tout !

Une minorité exploite et opprime les travailleurs !
4 gouvernements en un an, mais la politique capitaliste continue :
• plus de 200 milliards d’argent public –
NOTRE argent – donnés aux grands patrons
• 88 milliards volés à la Sécu
• le nombre des super riches en France a
doublé en 10 ans (67⟶ 147)
• le budget militaire doublé en 10 ans
On veut toujours nous serrer la ceinture ?!
C’est aux capitalistes de payer !
Résistons !
Partout, des assemblées populaires se lèvent : des
travailleurs, des retraités, des jeunes, des
syndicalistes, des gilets jaunes, des antifascistes.
Pour :
• La retraite à 60 ans
• Hausse des salaires
• Des contrats fixes, des conditions de travail dignes. NON à la précarité !
• Un logement correct – du temps libre pour vivre
• Des papiers pour toutes et tous – égalité des droits (santé, écoles…)
• La défense de l’environnement contre les profits destructeurs.
• Pas un centime, pas une vie pour leurs guerres !

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C’EST L’APARTHEID EN ISRAËL QUE LE MONDE DOIT RECONNAÎTRE

Je suis né réfugié : la famille de ma grand-mère venait de Kfar Sabt, et celle de mon grand-père du village voisin de Lubya. Aujourd’hui, de ma maison à Ramallah, chaque matin je m’éveille avec vue sur un drapeau israélien dans la colonie voisine de Beit El, un rappel sans du régime d’apartheid qui régente chacun des aspects de ma vie.
Les Juifs Israéliens qui vivent ici ont donné leurs voix à un gouvernement qui détermine où j’ai le droit de vivre, de travailler, de voyager, combien d’eau je peux recevoir, de quel ensemble de règles et de lois s’applique je relève, et desquelles je ne relève pas. Comme des millions de Palestiniens de la Cisjordanie à Gaza, je suis gouverné par un système qui ne voit en moi qu’un obstacle à son expansion éthno-étatique.

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