20 juillet 2024

Le changement climatique et les fonds d’investissement européens dans  la région du Cerrado (Brésil)

Le président brésilien Jair Bolsonaro et ses alliés politiques et économiques – en particulier dans l’agroindustrie – sont largement, et à juste titre, tenus pour responsables de la déforestation en cours. Mais si le secteur privé brésilien a bel et bien été un moteur de cette destruction, son action est facilitée, voire soutenue, par des entreprises multinationales, dont certaines sont basées en Europe.

APPEL AU MOIS INTERNATIONAL D’ACTIONS POUR LA LIBÉRATION DE GEORGES ABDALLAH

Le 19 septembre 2020 dernier, la Campagne Unitaire pour la Libération de Georges Abdallah appelait à un mois international d’actions pour la libération de notre camarade. Guidés par la ferme conviction que ce combat devait se mener sur le terrain politique puisque le refus par l’Etat français de libérer Georges Abdallah relève bien d’une décision politique, nombreux avaient été alors les organisations et collectifs à soutenir cet appel et à s’engager concrètement sur le terrain des luttes, partout en France et à l’international, afin d’amplifier la mobilisation et contribuer à faire connaître la situation et le combat de Georges Abdallah.

Pas de libération des femmes sans révolution socialiste

Dans l’article suivant, Aurore Koechlin développe une vue stratégique de la question des femmes. Elle expose de manière claire l’exploitation et l’oppression particulière de la femmes dans le cadre de la société capitaliste et lie la critique du capitalisme et du patriarcat. Karl Marx et Friedrich Engels dans « Le capital » ont jeté les bases d’une telle position avec leur critique de la conception de la famille bourgeoise comme unité économique de la production et reproduction de la vie/ de la main d’œuvre.

Alerte à la catastrophe : Sauvons l’environnement de l’économie de profit !

Les crises font parties du système : sur le plan global les crises économiques, financières, spéculatives ou pas, se multiplient que ni le capitaliste individuel ni les groupes financiers ne peuvent éviter. Même chose pour la crise environnementale. Ils ne peuvent qu’en rejeter la charge sur le dos des classes dominées avec l’aide des gouvernements.  C’est ce qui a déclenché la résistance légitime des gilets jaunes.

Les catastrophes mondiales et régionales exigent un changement de système fondamental – pas de gestion catastrophique de crises

Les monopoles internationaux répercutent impitoyablement les charges de la crise économique et financière mondiale sur la classe ouvrière, sur les larges masses populaires et sur les budgets nationaux. De même, ils se débarrassent également des charges de la crise environnementale mondiale. Le refus des dirigeants de résoudre ce problème urgent pour toute la vie humaine fait que de plus en plus de personnes se retournent contre le capitalisme. « System Change – not Climate Change ! » est devenu le slogan du mouvement « Fridays-for-Future ».