C’est l’heure de la riposte ! Le 22 mars tous dans la rue !

Le Front Uni international déclarait lors de sa fondation en septembre 2023 :« Une dangereuse tendance au fascisme s’est développée dans le monde entier. Le Front uni antifasciste fait un travail d’information pour lutter contre l’influence de la démagogie sociale-fasciste et les préjugés nationalistes et racistes. Face à la réaction le Front uni anti-impérialiste met donc à l’ordre du jour la lutte pour la préservation et l’extension des droits et libertés démocratiques ….
…Nous recherchons l’alliance avec tous les opprimés du monde – les prolétaires, les paysans pauvres, les peuples indigènes, les femmes, les jeunes, les réfugiés, les travailleurs migrants, les minorités, les peuples opprimés par le néocolonialisme et tous ceux qui luttent pour la démocratie et la liberté. Nous défendons le droit de se réfugier… » (extraits de la Déclaration)
C’est pourquoi nous serons dans les manifestations le 22 mars. A Paris, nous y serons à partir de 13h et nous formerons avec d’autres organisations et camarades un cortège anti-impérialiste.

Déclaration de l’ICOR sur la situation au Congo

L’assaut des unités spéciales de troupes rwandaises sur la ville de Goma dans la République démocratique du Congo n’a été possible qu’avec le soutien d’un équipement sophistiqué fourni par les puissances occidentales. La situation actuelle dans l’est du Congo replonge de nouveau la région dans un cycle de violence inouï.
Les masses congolaises sont prises dans un étau et leur situation devient de plus en plus intenable. A partir du 25 décembre, Goma, avec sa population de plus d’un million d’habitants, vient de s’ajouter aux centaines de milliers de personnes qui errent déjà dans la jungle des localités environnantes, fuyant les bombardements et les vexations de toutes parts. Toutes les voies d’approvisionnement en produits de première nécessité sont coupées, y compris l’eau et l’électricité pour cette ville, aujourd’hui coupée du monde extérieur….

Appel de l’ICOR à l’occasion de la Journée internationale des femmes 2025

La Journée internationale de lutte de la femme, le 8 mars, est indissociable de l’histoire des femmes socialistes. En 1910, la communiste Clara Zetkin a pris l’initiative d’instaurer une journée de la femme lors de la Deuxième Conférence Internationale des femmes socialistes à Copenhague, journée au cours de laquelle les femmes descendent dans la rue pour défendre leurs droits et leur liberté. Cette journée de lutte pour l’égalité des droits des femmes revendiquait le droit de vote et d’éligibilité pour les femmes, mais aussi l’introduction de la journée de travail de huit heures, une protection suffisante de la mère et de l’enfant, la fixation de salaires minimums et un salaire égal pour un travail égal – tous des acquis révolutionnaires pour les grandes masses de femmes…..

Journée internationale de lutte des femmes 2025

En 2025, les femmes gagnent toujours moins que les hommes. Les femmes continuent d’assurer la vie des familles et de prendre soin des personnes âgées et malades. Les femmes continuent d’être victimes de violences sexuelles, de féminicides, de sexisme et d’intimidation au travail. L’histoire de la Française Gisèle Pelicot a fait le tour du monde : son mari l’avait droguée pendant des années et l’avait proposée au viol sur des forums Internet. Elle est devenue une héroïne du mouvement des femmes en France en raison de son courage à montrer publiquement les vidéos de ses viols au tribunal. « La honte doit changer de camp » a fait le tour du monde. …

Le Front Uni — United Front et la Marche des Solidarités

La MARCHE DES SOLIDARITÉS se bat contre le racisme et les discriminations sous toutes leurs formes, contre le colonialisme et combat le fascisme. Elle défend l’égalité des droits de toutes et tous sans différence d’origine, de nationalité ou de religion. Elle revendique la régularisation de tous et toutes les sans-papiers, la liberté de circulation et d’installation, l’accès sans condition à l’éducation, au logement et à la santé, la fermeture des centres de rétention, la fin des violences policières.
La MARCHE DES SOLIDARITÉS repose sur l’implication centrale des personnes immigré.es et racisé.es et de leurs formes d’auto-organisation (notamment les collectifs de sans-papiers et de mineur.e.s isolé.e.s en lutte). Elle cherche à construire l’unité de toutes et tous sur les lieux de travail, les lieux de vie et les quartiers, la lutte collective et la solidarité

Rassemblement pour la libération de G. I. Abdallah le mercredi 19 janvier à 18h30 à République.

Ce devoir résonnera tout particulièrement le 19 février prochain – veille du rendu de la Cour d’Appel de Paris – où il nous faudra une nouvelle fois user de notre arme, la solidarité « essentiellement pour faire avancer la lutte » (décembre 2002) ce qui en l’occurrence revient à intensifier toujours plus la pression afin de rompre cette dernière digue du rapport de force et faire que le 20 février, Georges Abdallah soit effectivement libéré….