23 décembre 2025

18 décembre, UNE JOURNÉE SANS NOUS !!

Nous avons signé et nous participerons au rassemblement à République (Paris) partir de 14 heures. Les migrants sont une partie importante de la classe ouvrière. Aujourd’hui, avec le développement important de la précarité, de la pauvreté et de la fascisation les migrants sont les premières victimes de l’oppression capitaliste. De nombreuses raisons pour que les communistes révolutionnaires soient à l’avant-garde de la résistance.
18 décembre, UNE JOURNÉE SANS NOUS : si on s’arrête, tout s’arrête !
Ce pays ne marche pas sans immigré·e·s. Il n’existe pas sans l’immigration et en bénéficie à tous points de vue.
Ce n’est pas l’immigration qui le détruit, ce sont les politiques menées, le racisme et l’injustice.

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Retour de la COP30 au Brésil ; et les actions de l’ICOR

Mi-temps à la COP30, la conférence de l’ONU sur le climat au Brésil. C’était l’occasion de plus de 50 000 personnes pour une puissante manifestation au cours de laquelle des dizaines de milliers de personnes, dont de nombreux autochtones, se sont déplacées à travers le centre de la ville de Belém avec des militants écologistes internationaux.
La « Marche pour le climat » a appelé à la fois à la défense des zones des communautés autochtones attaquées par les bûcherons et les prospecteurs d’or illégaux, et à des mesures sérieuses de protection de l’environnement. Ils ont appelé à la protection des peuples autochtones, de la forêt tropicale et à l’élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz, et s’abandonnent de plus en plus avec les promesses des gouvernements des États capitalistes et impérialistes, mais cela ne se reflète pas seulement dans la protestation de plus en plus forte. Parallèlement à la COP30, le « Sommet du peuple » avec des centaines d’organisations, de mouvements et de réseaux du Brésil et de l’étranger aura lieu sur le site de l’Université de Belém.

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Solidarité avec les Prisonnier·ère·s Politiques, les 20-21 décembre 2025 à Paris

Ceux et celles qui luttent contre les guerres impérialistes et l’armement, contre l’exploitation capitaliste, contre le fascisme, contre l’ordre patriarcal et contre le pillage de la nature, se heurtent à une terreur généralisée faite d’arrestations par les classes dominantes. À travers le monde, des centaines de milliers de prisonnières et prisonniers politiques sont privé·e·s de liberté et poursuivent, dans les conditions les plus dures, leur combat pour leurs idéaux.
L’isolement, la torture, le refus de soins et de libération, les interdictions de communication et d’autres violations de droits visent à briser et soumettre la volonté des détenu·e·s. De la Turquie-Kurdistan à la Palestine, de l’Inde à l’Iran, des États-Unis aux Philippines, du Pérou aux pays de l’Union européenne, partout dans le monde, les prisonnières et prisonniers politiques résistent à toutes les pressions en défendant leurs idéaux révolutionnaires et leur dignité humaine.

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Message de la CGT Stellantis à la conférence internationale de Pune

Une même stratégie mondiale de Stellantis : réduire les volumes, fermer des sites, baisser la masse salariale
En France comme en Allemagne, en Italie, en Pologne, en Espagne et ailleurs, la direction de Stellantis applique la même politique de casse industrielle, sous couvert de transition énergétique ou de prétendues évolutions du marché.
Ces dernières semaines, Stellantis a officiellement annoncé la fin de la production automobile à Poissy, comme Filosa l’a déclaré à l’ensemble des organisations syndicales le 3 novembre.

Poissy s’ajoute désormais à la longue liste des sites fragilisés ou menacés dans le groupe : Douvrin, Rennes, Sochaux, Mulhouse, Hordain, Madrid, Melfi, Eisenach, Rüsselsheim, Glivice…

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pour un 25 novembre féministe, révolutionnaire, anti-impérialiste et antimilitariste

Le 15 décembre 2017, une vidéo fait le tour des réseaux sociaux. On y voit une Palestinienne de 16 ans bousculer et gifler des soldats israéliens armés de fusils d’assaut à Nabi Saleh, en Cisjordanie occupée. Donald Trump vient alors de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’entité génocidaire israélienne, déclenchant des manifestations dans la Palestine occupée et partout dans le monde.

Cette jeune femme courageuse, c’est Ahed Tamimi. Son cousin Mohammad vient de se prendre une balle en caoutchouc dans la tête, amenant les médecins à l’opérer et lui enlever une partie du crâne. Durant les deux années précédentes, Ahed Tamimi a été impliquée dans cinq autres altercations avec les colons génocidaires, dont une dès ses 14 ans lorsqu’elle avait mordu un soldat israélien cagoulé pour défendre son frère plaqué au sol lors d’une tentative d’arrestation.

Ahed est arrêtée le 19 décembre 2017 avec sa mère Nariman et sa cousine Nour. Avec 12 chefs d’inculpation, elle est condamnée à 8 mois de prison et est libérée en juillet 2018. «Nous ne sommes pas des victimes mais des artisans de la liberté» expliquait-elle lors de sa venue à la Fête de l’Humanité en 2018.

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Communiqué de la coordination européenne de la Conférence mondiale des femmes de la base

En mémoire des sœurs Mirabal Patria, Minerva et María Teresa engagées contre la dictature de Trujillo en République dominicaine, emprisonnées et torturées pour leurs actes militants, puis assassinées le 25 novembre 1960. Leur lutte et leur sacrifice ont fait de cette date un symbole mondial de résistance face à la violence, à l’oppression et à toutes les formes de domination.

Soixante-cinq ans plus tard, leur combat résonne avec force. Les formes de domination ont changé, mais les mécanismes de pouvoir restent les mêmes : violence, guerre, répression, précarité.

Les femmes continuent de se battre contre les dictatures, les occupations, les guerres impérialistes et les violences d’État.

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