Aidons les communistes d’Ukraine !
Aidons les communistes d’Ukraine ! Les organisations communistes d’Ukraine ont besoin d’aide. Elles sont prises en étau entre un État anticommuniste et les forces d’invasion. …
Anti-capitaliste, pour le socialisme véritable
Aidons les communistes d’Ukraine ! Les organisations communistes d’Ukraine ont besoin d’aide. Elles sont prises en étau entre un État anticommuniste et les forces d’invasion. …
Apparemment, le Kremlin espère une guerre éclair, qui doit aboutir à la mise en place d’un régime fantoche à Kiev. Cette opération de “dénazification” entraînera toutefois un renforcement des sentiments nationalistes et anti-russes dans le pays occupé et le transformera en un analogue de la Yougoslavie des années 1990. Il convient de rappeler que l’invasion de la Yougoslavie par l’OTAN en 1999 était également “justifiée” par la nécessité de renverser le régime de Milosevic qui avait bombardé le Kosovo. Ils ont même appelé cela une “intervention humanitaire”.
L’impérialisme, c’est la guerre vers l’extérieur et la réaction vers l’intérieur. Seul le socialisme peut y mettre fin. Pour cela, la classe ouvrière internationale en particulier doit resserrer ses rangs. Aujourd’hui, un mouvement de paix combatif à l’échelle mondiale peut s’opposer aux préparatifs de guerre et retarder ou bien empêcher le déclenchement d’une guerre concrète.
Alors que l’OTAN n’a cessé, au cours des dernières décennies, de poursuivre son élargissement à l’Est et que le régime réactionnaire ukrainien s’est doté de plus en plus d’armes et des munitions, la Russie impérialiste a depuis des mois déjà une armée de 100 000 hommes équipée d’engins lourds et d’armes d’attaque concentrés à la frontière ukrainienne. L’armée est également renforcée en Crimée occupée et dans la partie du Donbass contrôlée par les « républiques » favorables à Poutine.
Renforcer le travail révolutionnaire parmi les femmes – L’ICOR soutient la Conférence mondiale des femmes de la base en Tunisie !
Au début de l’année 2022, des manifestations de masse contre le pouvoir se sont répandues dans plusieurs villes du Kazakhstan. L’élément déclencheur a été le doublement du prix du gaz liquide. Les travailleurs de l’industrie, en particulier ceux du pétrole, du gaz et de l’acier, se sont mis en grève, ont bloqué les routes et organisé des manifestations. Les luttes ont commencé dans l’ouest du pays et se sont propagées de manière explosive dans tout le pays, y compris dans la capitale Nour-Soultan et la métropole économique Almaty.