22 février 2025

Exigeons la libérons George Ibrahim Abdallah

La Campagne Unitaire pour la Libération de Georges Abdallah appelle à se rassembler massivement devant le tribunal et à être présent dans la salle d’audience pour montrer notre détermination à ne rien lâcher jusqu’à la libération de notre camarade et accentuer la pression afin que le ministre de l’Intérieur applique la décision de la justice de son État : « il faut qu’il signe ! »

Ukraine: au seuil de la guerre ?

La Russie a apparemment rassemblé 94.000 soldats près de la frontière. L’UE et les États-Unis menacent Moscou de violentes sanctions en raison de l’agression prétendument prévue. De son côté, la Russie se sent provoquée par les manœuvres des navires de guerre américains et de l’OTAN en mer Noire et craint que l’Ukraine ne se prépare à une offensive de grande envergure contre les républiques autoproclamées pro-russes de Donetsk et de Lougansk dans l’est de l’Ukraine¹.

Zemmour et ses intérêts de classe. (deuxième partie)

Éric Zemmour partage son climato-scepticisme avec plusieurs membres de son entourage. Son soutien à X bien évidemment Il peut ainsi compter sur le soutien du sulfureux Loïk Le Floch-Prigent, ancien grand patron, condamné dans le scandale Elf pour « abus de biens sociaux et de crédits » et « abus de pouvoir »… [Elf c’est aujourd’hui Total qui, nous l’avons montré par ailleurs sur notre site, n’est pas un ami des écologistes] (note de la rédaction)

Sauvons l’environnement de l’économie de profit ! En avant vers le socialisme révolutionnaire !

Qui est responsable de la dégradation effrayante de l’environnement ?

Ensuite, questions écologiques et sociales doivent aller de pair pour convaincre ! Une partie des gens sont anti-capitalistes,  accusent les grands groupes et voient dans la COP 26 de « l’enfumage ». Une autre partie de la population pense que « nous sommes tous responsables », nous vivons dans « le luxe, la surconsommation ».

L’industrie de la sécurité tire profit de la crise climatique

Le changement climatique est bon pour le business. Du moins celui de la sécurité. C’est ce que démontre un rapport publié ce lundi 25 octobre par l’organisation de recherche et de plaidoyer Transnational Institute. Intitulé « un mur contre le climat », il démontre que les pays les plus riches dépensent bien plus pour renforcer leurs frontières contre les migrants que pour aider les pays pauvres, d’où ils viennent, à affronter la crise climatique.