Café militant : la guerre en Ukraine
Café militant :
La guerre en Ukraine fait courir de gros risques!
Résistance active contre toute politique
des « va-t-en guerre »!
Anti-capitaliste, pour le socialisme véritable
Café militant :
La guerre en Ukraine fait courir de gros risques!
Résistance active contre toute politique
des « va-t-en guerre »!
Nous, les participantes de 13 pays et de quatre continents, condamnons, dans la tradition du mouvement mondial des femmes combatif et révolutionnaire, la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine.
Presque tout le monde reconnaît que la guerre actuelle est une guerre impérialiste, mais le plus souvent on déforme cette notion, ou bien on l’applique unilatéralement, ou bien on insinue que cette guerre pourrait avoir une portée progressiste bourgeoise, de libération nationale. L’impérialisme est le degré supérieur du développement du capitalisme, que celui ci n’a atteint qu’au XX° siècle. Le capitalisme se sent désormais à l’étroit dans les vieux Etats nationaux sans la formation desquels il n’aurait pu renverser le régime féodal…
Apparemment, le Kremlin espère une guerre éclair, qui doit aboutir à la mise en place d’un régime fantoche à Kiev. Cette opération de “dénazification” entraînera toutefois un renforcement des sentiments nationalistes et anti-russes dans le pays occupé et le transformera en un analogue de la Yougoslavie des années 1990. Il convient de rappeler que l’invasion de la Yougoslavie par l’OTAN en 1999 était également “justifiée” par la nécessité de renverser le régime de Milosevic qui avait bombardé le Kosovo. Ils ont même appelé cela une “intervention humanitaire”.
Le Rapport d’Amnesty International nous renforce, Jeff Halper du Comité israélien contre les démolitions de maisons (ICAHD) écrit à propos de la publication d’Amnesty International sur la politique d’apartheid de l’État d’Israël envers les Palestiniens et Palestiniennes
Au moment où le Gouvernement entend, pour la troisième année consécutive, poser les jalons de l’incorporation à terme de l’ensemble des jeunes âgés de quinze à seize ans dans un service national obligatoire, il nous a paru nécessaire de recueillir son point de vue.