1 septembre 2024

Les prolétaires d’Ukraine et de Russie ont des intérêts de classe communs

Les prolétaires d’Ukraine, de Russie, de Biélorussie, de Pologne, des États-Unis et d’autres pays ont des intérêts de classe communs ! Et ils ne coïncident pas avec les intérêts de Poutine, Biden, Loukachenko ou Johnson. Il n’y a pas de “bon” impérialisme, il est toujours synonyme de misère, de pauvreté et de guerre. Pour mettre un terme aux impérialistes et à leurs machinations, les travailleurs ont besoin d’une révolution socialiste ! Ce n’est qu’alors que la classe ouvrière sera en mesure de réaliser ses véritables intérêts vitaux – les siens et non ceux des différents exploiteurs impérialistes.

17 octobre 2021 : Macron commémore le massacre des travailleurs algériens du 17 octobre 1961

En France en 1961, plus de deux millions de travailleurs algériens participent à la reconstruction d’après-guerre, vivant dans des bidonvilles. La plupart soutient le FLN dont la fédération en métropole s’opposera toujours aux actions terroristes. Le 17 octobre 61, malgré l’interdiction, 30 000 manifestent sans arme, venus de toute la région parisienne. La répression fera plus de 200 morts : cranes fracassés à coup de crosse, fusillades, corps jetés dans la Seine, disparus.

Danièle Linhart : « Les méthodes de management….

Il s’agit toujours de faire croire aux salariés que cela est réalisé l’est pour leur bien. La logique du profit, la rationalité capitaliste deviennent l’opportunité pour les salariés de faire l’expérience de leur dimension spécifiquement humaine. D’ailleurs, les qualités qui leur sont demandées relèvent de dimensions qui vont au delà du professionnel : il s’agit de l’aptitude au bonheur, du besoin de se découvrir, de la capacité à faire confiance, à mobiliser son intuition, son sens de l’adaptation, à faire preuve de caractère, d’audace et de flexibilité…. La notion de « savoir être » est d’ailleurs devenue l’un des axes forts de la nouvelle gestion des salariés préconisée par le Medef.

Mouvements ouvrier et écologique: tous ensemble contre la destruction de l’environnement naturel, de notre santé et de nos emplois

Dans le monde entier, les travailleur-se-s du secteur automobile luttent pour leurs droits et contre des licenciements massifs, contre des fermetures d’usines et contre l’exploitation accrue. C’est le cas pour la grève générale des syndicats de la base du 11 octobre en Italie, pour les grèves dans la construction mécanique en Afrique du Sud, pour la lutte des travailleurs de GM São Caetano do Sul au Brésil, contre la fermeture d’Opel Eisenach en Allemagne, chez GM à Silao, au Mexique, en Inde, aux Philippines, et pour bien d’autres mouvements dans le monde entier.