Algérie: le Pads un espoir vite éteint.

Au vu de l’absence d’articles (le dernier sur le site Internet remonte au mois de septembre 2024) du Parti algérien pour la démocratie et le socialisme (Pads) on peut penser qu’il n’existe plus. Or, son silence peut être vu comme une attitude malhonnête envers le mouvement ouvrier et communiste international. Surtout qu’il se présentait devant les communistes du monde entier comme le représentant qualifié de la classe ouvrière algérienne. Ce qui doit pas nous empêcher de donner notre avis sur ce qu’il a fait ou n’a pas fait pour éviter sa disparition.

Rappelons que le Pads est né en mars 1993, après que les renégats du communisme eurent liquidés en janvier de cette année le parti communiste algérien appelé Parti de l’Avant-Garde Socialiste (Pags). On se doit de s’interroger sur la facilité avec lequel ces renégats (gorbatchéviens) purent le liquider dans la foulée du renversement contre-révolutionnaire du camp socialiste. Si, cela a pu se produire c’est sans doute que le Pags était miné et gangrener par l’opportunisme en général.

Nous devons signaler que la fondation du Pads ne résultait pas d’une décision prise par un congrès, mais de celle de camarades issus du défunt Pags. La pratique a montré que c’était une décision précipitée du fait que les fondateurs ne se donnèrent pas le temps et les moyens d’élaborer un véritable plan d’organisation du Parti.

18 Mars 1871 LA COMMUNE EST PROCLAMÉE !

Les premières dehors, les femmes, entourent les
soldats, réclament leurs canons et rameutent
une foule de plus en plus grande. Les soldats
fraternisent avec les gardes nationaux et
fusillent leurs officiers, Lecomte et Thomas.
Surpris par l’échec de l’opération, le
gouvernement prépare sa fuite, Thiers en
premier, tandis que les parisiens se réveillent en
découvrant la vacance du pouvoir! On se
mobilise, dresse des barricades, se réunit. La
Commune, le pouvoir des ouvriers, tant
réclamée depuis 6 mois, va s’établir, presque
malgré elle, dans la surprise et l’innocence !

Répression sanglante d’ouvriers en grève au Cameroun !

L’organisation de l’ICOR, l’Union des Peuples du Cameroun – Manifeste pour l’instauration de la Démocratie (UPC-Manidem), déclare à ce propos :

«  Nous adressons nos sincères condoléances aux familles endeuillées et leur exprimons toute notre compassion. En ces moments difficiles, nous partageons leur douleur et souhaitons pour tous la paix et le réconfort. Rappel des faits : 27 janvier 2025 : Environ 2.500 travailleurs saisonniers du site d’exploitation de Mbandjock se mettent en grève pour protester contre le retard de paiement et les conditions de travail précaires. 30 janvier 2025 : Après trois jours de grève sans suite, les tensions s’intensifient, et environ 6000 travailleurs saisonniers du site d’exploitation de Nkoteng rejoignent le mouvement. La cause profonde de cette grève réside dans la réduction injustifiée des échelons des travailleurs saisonniers par la direction de la Sosucam depuis le lancement de la campagne agricole 2023-2024, sans aucune explication concrète.

Au lieu d’ouvrir un dialogue constructif, le gouvernement a donné l’ordre à la gendarmerie et à la police de réprimer aveuglement les manifestants, faisant usage d’armes et de dispositifs antiterroristes contre de nobles ouvriers qui ne demandaient que le fruit de leur labeur. Une démonstration de force qui illustre avec effroi que la négociation n’a jamais une option envisagée. »

Bernard Arnault a raison : le capitalisme est condamné

À l’investiture de Trump où il était au premier rang, avec les patrons du capitalisme américain, en particulier de la Bigtech, Bernard Arnault a effectivement pu constater leur enthousiasme. A partir du moment où la cupidité, l’accumulation des richesses, est le moteur des décisions et le seul, il est logique d’investir là où le minimum fiscal est imposé. Au même moment le rassemblement de Davos révélait que les préoccupations de durabilité, de diversité, d’écologie etc…. n’étaient qu’un vernis dont les dirigeants capitalistes estiment n’avoir plus besoin.

Trump, Musk, et la folie impérialiste : le bal des bouffons fascisants

Dans l’énième épisode de la tragédie américaine, Donald Trump, cet éternel clown grimé en chef d’État, menace d’annexer le Canada, le Groenland et le canal de Panama. Rien que cela ! Si cela peut sembler être un mauvais sketch, ce sont les répercussions sur le monde entier qui transforment la farce en drame. Derrière les déclarations grotesques se cache une vérité bien plus inquiétante : le capitalisme en crise cherche désespérément à redistribuer les cartes géopolitiques par la force. Et soyons clairs, Trump n’est pas une aberration isolée, mais le produit inévitable d’un système impérialiste pourrissant.