18 septembre 2025

Première : stand ICOR à la Fête de l’Humanité près de Paris

« Rode Morgen » venait des Pays-Bas, une délégation du MLPD d’Allemagne, le MLKP de Turquie et l’organisation française de l’ICOR, l’Union Prolétarienne Marxiste-Léniniste, ont agi comme hôte, portant la bannière de l’ICOR « Contre le fascisme, la guerre et la destruction de l’environnement – Révolution et Socialisme ».

 Le public a été bien plus nombreux que d’habitude à assister au 90e anniversaire. La crise gouvernementale, en particulier, touche jeunes et moins jeunes : les structures et les liens traditionnels sont perturbés et dissouts. Nous partageons largement notre critique du capitalisme. Nous partageons également notre volonté de lutter pour une perspective différente. Mais comment ? 

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Visitez l’ICOR dans le Village du livre

L’UE et les monopoles internationaux s’engagent sans contrôle sur la voie
d’une catastrophe environnementale. Le conte de fées du « capitalisme vert
» et du « Pacte vert » est utilisé pour justifier l’énergie nucléaire, la consommation d’énergies fossiles, la dégradation des océans et les crimes environnementaux locaux afin de maintenir l’économie de profit dans tous les domaines et à tout prix.

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ICOR à la fête de l’Huma

L’ICOR regroupe 60 organisations révolutionnaires sur les cinq continents de la planète. Dans les Amis de l’ICOR des personnes individuelles soutiennent nos projets et activités.

L’ICOR est une organisation de coopération pratique. L’ICOR se mobilise tout autour du globe lors des journées de lutte, le 8 mars, le 1er mai, lors des journées anti-guerre et contre la destruction de nos bases de vie naturelles.

La coordination ICOR donne du poids à la voix des communistes qui agissent et qui s’unifient progressivement à l’aide de déclarations, des actions communes et campagnes, de débats et séminaires.

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« Camarades, défendons nos emplois ensemble ! »

En avril, ArcelorMittal a annoncé la suppression de centaines d’emplois dans le nord de la France. Environ 400 à 500 collègues du nord de la France, dont ceux de Dunkerque, Dieppe et Lille, se sont rassemblés pour l’action. D’autres entreprises étaient représentées, dont EDF et la SNCF. Après le « barbecue combatif » avec saucisses et boissons fraîches, un rassemblement a débuté avec des discours combatifs. Notre français étant plutôt limité, nous ne comprenions pas grand-chose. La banderole géante sur la scène affichait la revendication de nationalisation. Le slogan était souvent lu : « ON PEUT FAIRE DU MÉTAL SANS MITTAL ! » La « décarbonation » a également été évoquée. Cependant, la combustion traditionnelle de pneus de voiture est en contradiction avec le rejet de CO2 dans l’atmosphère…Nous nous sommes présentés aux représentants syndicaux et avons demandé si nous pouvions lire une déclaration de solidarité. Cela n’a posé aucun problème ; nous avons été convoqués assez rapidement.

« Nous venons de Duisbourg, le centre de l’industrie sidérurgique allemande. ThyssenKrupp, le principal groupe sidérurgique, a annoncé l’an dernier la suppression de 11 000 emplois. Une usine va fermer complètement : l’aciérie Krupp Mannesmann. Le contrat de fourniture avec Arcelor Mittal Ruhrort, dont dépend le haut fourneau 9, expire en 2026.

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Un exemple à suivre: des syndicalistes dénoncent l’impérialisme

Partout dans le monde, des guerres détruisent
des peuples. Ces guerres ne sont pas les nôtres,
elles servent les intérêts d’une poignée de milliardaires et de gouvernements qui organisent
le chaos pour mieux imposer leur domination
capitaliste.
Que ce soit en Palestine, en Ukraine, en Iran
ou en République Démocratique du Congo,
ce sont toujours les peuples qui paient le prix
fort : bombardements, déplacements de populations, famines, répressions, pillage des
ressources. Ce sont les civil·es, les enfants, les
travailleuses et les travailleurs qui meurent,
pendant que les grandes puissances vendent
des armes, exploitent les sols et tirent profit du
sang versé.
Nous, travailleuses et travailleurs de Roissy, refusons d’être complices. Nous refusons que nos
métiers, nos lieux de travail, nos infrastructures
soient utilisées pour transporter des armes ou
soutenir des États en guerre. Nous refusons que
notre travail serve à tuer.
Notre camp est celui des peuples. Notre solidarité va, à celles et ceux qui résistent à
l’occupation, à la colonisation, aux dictatures et
aux pillages.

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Nous appelons tous les travailleurs à agir

« Ces dernières années, nous avons pris des mesures contre le flux d’armes transitant par nos ports, utilisées par diverses armées contre des populations vulnérables. Cela a commencé avec la guerre de l’Arabie saoudite au Yémen en 2019, et aujourd’hui, cela concerne les armes destinées à Israël et utilisées pour le blocus et le génocide de la population de Gaza », ont-ils déclaré, ajoutant : « Nous appelons tous les travailleurs à agir dans les usines, les ports, les aéroports et, parallèlement, dans les universités. C’est ainsi que nous pourrons nous opposer à la guerre qui fait rage dans le monde entier et qui mène à une troisième guerre mondiale. »
Erik Helgeson a déclaré : « En décembre dernier, les membres de notre syndicat ont organisé un référendum dans une vingtaine de ports suédois pour savoir si nous entreprendrions une action syndicale afin d’empêcher l’acheminement de marchandises militaires vers Israël. 68 % de nos membres ont voté « oui » ». « La presse s’est montrée très agressive et nous avons rencontré des difficultés devant les tribunaux, mais début février, le tribunal du travail suédois a jugé nos actions légales et nous les avons menées à bien le jour prévu », a-t-il ajouté.

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