21 juillet 2024

Rejoignez la Jeunesse internationale contre l’impérialisme et le fascisme

nous vous informons de la fondation de la Jeunesse internationale contre l’impérialisme et le fascisme en 2020. Quatre organisations de jeunesse au sein de l’ICOR ont pris l’initiative de rassembler des organisations de jeunesse progressistes du monde entier afin de renforcer la lutte de la jeunesse au niveau mondial contre l’impérialisme et le fascisme.

Lutte contre la persécution politique des révolutionnaires et des démocrates!

La 4eme Conférence mondiale de l’ICOR s’oppose vigoureusement à la menace, la poursuite, l’arrestation, la torture et l’assassinat de communistes et de révolutionnaires – des camarades de l’ICOR et au delà – par des gouvernements et d’autres forces réactionnaires et fascistes comme forme extrême de l’anticommunisme.

La grande éclaircie de la révolution culturelle chinoise

Pour lancer la deuxième vague de révolutions prolétariennes, nous avons besoin d’abord, de nous dégager de l’histoire telle que la bourgeoisie et ses mercenaires de la plume l’écrivent et puis, de la confusion qu’entretiennent aussi « à leur insu » des organisations « communistes » ou « marxistes-léninistes » aussi bien sur la révolution culturelle que sur le caractère plus ou moins socialiste du régime chinois actuel.

Sauvons l’environnement de l’économie de profit ! En avant vers le socialisme révolutionnaire !

Qui est responsable de la dégradation effrayante de l’environnement ?

Ensuite, questions écologiques et sociales doivent aller de pair pour convaincre ! Une partie des gens sont anti-capitalistes,  accusent les grands groupes et voient dans la COP 26 de « l’enfumage ». Une autre partie de la population pense que « nous sommes tous responsables », nous vivons dans « le luxe, la surconsommation ».

17 octobre 2021 : Macron commémore le massacre des travailleurs algériens du 17 octobre 1961

En France en 1961, plus de deux millions de travailleurs algériens participent à la reconstruction d’après-guerre, vivant dans des bidonvilles. La plupart soutient le FLN dont la fédération en métropole s’opposera toujours aux actions terroristes. Le 17 octobre 61, malgré l’interdiction, 30 000 manifestent sans arme, venus de toute la région parisienne. La répression fera plus de 200 morts : cranes fracassés à coup de crosse, fusillades, corps jetés dans la Seine, disparus.