Les prolétaires d’Ukraine et de Russie ont des intérêts de classe communs

Les prolétaires d’Ukraine, de Russie, de Biélorussie, de Pologne, des États-Unis et d’autres pays ont des intérêts de classe communs ! Et ils ne coïncident pas avec les intérêts de Poutine, Biden, Loukachenko ou Johnson. Il n’y a pas de “bon” impérialisme, il est toujours synonyme de misère, de pauvreté et de guerre. Pour mettre un terme aux impérialistes et à leurs machinations, les travailleurs ont besoin d’une révolution socialiste ! Ce n’est qu’alors que la classe ouvrière sera en mesure de réaliser ses véritables intérêts vitaux – les siens et non ceux des différents exploiteurs impérialistes.

Salut fraternel et solidaire aux camarades du MLPD

Nous sommes à vos côtés pour dénoncer ces agissements qui correspondent à un durcissement délibéré de la répression et à la réduction des droits démocratiques. La démocratie bourgeoise viole ses propres  lois en maintenant sous une forme déguisée – l’inscription dans ses fichiers – les accusations mensongères de terrorisme que pourtant les autorités judiciaires à chaque fois ont elles-mêmes rejetées.

Requête rejetée ? Résister et lutter !

« Requête rejetée ! » Telle est la décision du tribunal administratif prononcée en date du 10 février 2022 en réponse
à la demande déposée par Jean-Louis Chalanset pour enjoindre le ministre de l’Intérieur à signer l’arrêté d’expulsion
conditionnant la libération de Georges Abdallah.
« Requête rejetée ! » : deux mots couperet pour, une nouvelle fois, illustrer de manière magistrale la nature même de
l’Etat et sa justice de classe.

Solidarité

Notre pays construit des ponts pas des murs. D’où que l’on vienne, où que l’on soit né·e, notre pays existe. Il s’appelle Solidarité.

Notre pays n’a ni carte, ni limites. Il ne fait pas la guerre si ce n’est au fascisme, au colonialisme, au racisme, à l’injustice et aux inégalités.

Notre pays n’existe pas isolé, atomisé, soumis. Il existe dans tout ce qui relie, regroupe, donne confiance et lutte.

Car notre pays brûle. Il s’appelle Avenir.