22 décembre 2024

Des vents nauséabonds et fétides soufflent sur la France.

Il va sans dire que depuis des années nous assistons à une droitisation de la vie politique en France. Les résultats électoraux du mouvement néo-fasciste du RN (Rassemblement national) de la famille Le-Pen attestent de cette réalité. Une partie non négligeable de l’électorat de droite se porte de plus en plus vers l’extrême-droite : RN et «Reconquête» d’Eric Zemmour.

Danger de guerre nucléaire

Des plans préparés depuis longtemps

Le 18 février, le magazine « Foreign Policy » a publié un article¹ de Matthew Kroenig, vice-directeur du Scowcroft Center à l’Atlantic Council, qui représente l’orientation principale de la politique étrangère américaine ². Le titre : « Washington doit se préparer à la guerre à la fois contre la Russie et contre la Chine ».

Requête rejetée ? Résister et lutter !

« Requête rejetée ! » Telle est la décision du tribunal administratif prononcée en date du 10 février 2022 en réponse
à la demande déposée par Jean-Louis Chalanset pour enjoindre le ministre de l’Intérieur à signer l’arrêté d’expulsion
conditionnant la libération de Georges Abdallah.
« Requête rejetée ! » : deux mots couperet pour, une nouvelle fois, illustrer de manière magistrale la nature même de
l’Etat et sa justice de classe.

Pour la Libération de Georges Abdallah

En ce jour symbolique, la Campagne Unitaire pour la Libération de Georges Abdallah appelle à se rassembler massivement devant le tribunal pour montrer notre détermination à ne rien lâcher jusqu’à la libération de notre camarade !

Soyons nombreux à Paris devant le tribunal administratif, 7 rue de Jouy, Paris 4e, le 10 février à 14h00 !

Exigeons la libérons George Ibrahim Abdallah

La Campagne Unitaire pour la Libération de Georges Abdallah appelle à se rassembler massivement devant le tribunal et à être présent dans la salle d’audience pour montrer notre détermination à ne rien lâcher jusqu’à la libération de notre camarade et accentuer la pression afin que le ministre de l’Intérieur applique la décision de la justice de son État : « il faut qu’il signe ! »